Christophe Bigot met quelque sorte fin à l'injonction du ministère des Affaires étrangères, qui au lendemain de la tuerie de Bofa-bayotte (6 janvier 2017) déconseillait, via un communiqué sur son site officiel, à tous les ressortissants français de se rendre en Casamance. Une décision qui avait même soulevé l'ire des acteurs du tourisme dans cette région qui avaient dénoncé dans les médias un manque de solidarité de l'Etat français.
En voyage dans le sud du Sénégal, l'Ambassadeur de la France au Sénégal a pris le contre-pied de ses compatriotes du Quai d'Orsay en appelant les ressortissants français à venir visiter la Casamance qu'il considère comme une destination merveilleuse. "Je suis venu une quinzaine de fois en Casamance, moi j’encourage les Français à venir en Casamance, qui est destination merveilleuse", a-t-il confié devant des journalistes.
Christophe Bigot conseille néanmoins aux touristes de respecter les consignes de sécurités. "La Casamance à un potentiel touristique très important, et si vous regardez les conseils que je donne aux voyageurs, c’est des conseils de bons sens : c’est-à-dire de ne pas voyager la nuit, d’éviter les zones minées et les bordures des frontières qui peuvent parfois être dangereuses", dit-il
En voyage dans le sud du Sénégal, l'Ambassadeur de la France au Sénégal a pris le contre-pied de ses compatriotes du Quai d'Orsay en appelant les ressortissants français à venir visiter la Casamance qu'il considère comme une destination merveilleuse. "Je suis venu une quinzaine de fois en Casamance, moi j’encourage les Français à venir en Casamance, qui est destination merveilleuse", a-t-il confié devant des journalistes.
Christophe Bigot conseille néanmoins aux touristes de respecter les consignes de sécurités. "La Casamance à un potentiel touristique très important, et si vous regardez les conseils que je donne aux voyageurs, c’est des conseils de bons sens : c’est-à-dire de ne pas voyager la nuit, d’éviter les zones minées et les bordures des frontières qui peuvent parfois être dangereuses", dit-il