« Il faudrait d’abord que nos frères et sœurs s’investissent dans les formations, dans les échanges pour plus d’outils qui permettront une bonne maîtrise du milieu dans lequel ils évolueront. Je souhaite que les gens soient plus ouverture d’esprit, ouvrent grand les yeux car il est temps ». Ces propos sont de Mamadou Traoré, directeur générale d’Artruist Média, une entreprise qui défend l’idée comme quoi le secteur de la culture et ceux de l’agriculture sont intimement liés au développement local et peuvent s’enrichir mutuellement. A travers cette vision, l’artiste a fini par monter à Toubab Dialaw une plateforme, qu’il appelle « le Festival One Nation, Full Option».
En conférence de presse, hier, dans les locaux de Viber Radio, M. Traoré est revenu sur le choix de la ville de Toubab Dialaw. «C’est un beau lieu culturel Lebou et aussi très touristique de par son histoire et sa population. Mais aussi pour un retour à la source ».
Des propos confirmés par Oumou Sy, marraine du festival. Selon elle, «Toubab Dialaw c’est un lieu saint. Parce que, El Hadji Omar est passé là. Il y a même un puits au milieu de la mer, c’est l’eau douce qui y sort et ne se mélange même pas avec l’eau de la mer. L’eau de la mer est par-dessus. Si tu y mets ta « bag » c’est de l’eau douce que tu y trouve. Ce qui est extraordinaire. Toubab Dialaw est un milieu paisible, où il fait bon vivre, où on peut se ressourcer ».
Mamadou Traoré a aussi souligné la présence des professionnels, des professeurs d’universités qui viendront pour donner des cours aux jeunes élèves. Un reboisement est prévu également. Il y aura de la musique, la danse, le conte et le théâtre. Plusieurs artistes dont Baba Maal de nombreux stylistes seront de la partie, a-t-il fait savoir.
Le président de la Commission culture et loisir, s’engage à le soutenir pour que ce festival dans ses prochaines éditions puisse être connu au niveau international. Il a fait comprendre que : « Le monde d’aujourd’hui est un village planétaire. Comme le disait Senghor, l’ouverture dans l’enracinement. Je ne suis pas contre des jeunes qui bougent».
En conférence de presse, hier, dans les locaux de Viber Radio, M. Traoré est revenu sur le choix de la ville de Toubab Dialaw. «C’est un beau lieu culturel Lebou et aussi très touristique de par son histoire et sa population. Mais aussi pour un retour à la source ».
Des propos confirmés par Oumou Sy, marraine du festival. Selon elle, «Toubab Dialaw c’est un lieu saint. Parce que, El Hadji Omar est passé là. Il y a même un puits au milieu de la mer, c’est l’eau douce qui y sort et ne se mélange même pas avec l’eau de la mer. L’eau de la mer est par-dessus. Si tu y mets ta « bag » c’est de l’eau douce que tu y trouve. Ce qui est extraordinaire. Toubab Dialaw est un milieu paisible, où il fait bon vivre, où on peut se ressourcer ».
Mamadou Traoré a aussi souligné la présence des professionnels, des professeurs d’universités qui viendront pour donner des cours aux jeunes élèves. Un reboisement est prévu également. Il y aura de la musique, la danse, le conte et le théâtre. Plusieurs artistes dont Baba Maal de nombreux stylistes seront de la partie, a-t-il fait savoir.
Le président de la Commission culture et loisir, s’engage à le soutenir pour que ce festival dans ses prochaines éditions puisse être connu au niveau international. Il a fait comprendre que : « Le monde d’aujourd’hui est un village planétaire. Comme le disait Senghor, l’ouverture dans l’enracinement. Je ne suis pas contre des jeunes qui bougent».
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