
Le véritable pouvoir se définit comme la capacité à influencer le comportement d’un individu ou le cours d’un événement.
Un pouvoir ambitieux implique une responsabilité tout aussi grande.
L’origine de la classe sociale ou familiale, bien qu’elle puisse façonner les trajectoires individuelles ne saurait offrir de protection contre les inégalités ou garantir une place dans l’ordre politique et/ou social. Il subsiste au sein de l’intelligentsia sénégalaise une caste de mercenaires intellectuels, sous couvert du journalisme.
Je ne comprends pas pourquoi il est si difficile de trouver un moyen de se réunir autour de l’essentiel et d’avoir au moins un objectif commun, afin de ne pas devenir, vous savez, des rabat-joie. C’est le symptôme d’une époque malade, ou la post-vérité gangrène certains journalistes mercenaires. Lorsqu’on efface la frontière entre le vrai et le faux, on ouvre un gouffre dans lequel n’importe quel manipulateur de faible envergure peut s’engouffrer.
La question du retrait des troupes françaises du Sénégal
Le Sénégal, tout comme d’autres pays du continent, cherche à évoluer dans un monde multipolaire, où chaque nation peut défendre ses intérêts sans ingérence extérieure. Cette démarche vise à affirmer des politiques extérieures plus équilibrées et respectueuses de l’autodétermination des nations africaines.
Il est évident que la question du retrait des troupes françaises du Sénégal, ainsi que la demande de souveraineté formulée par notre gouvernement sous l’impulsion de la jeune garde patriote, emmenée par le Premier Ministre Ousmane Sonko, ne reflètent pas pleinement les réalités complexes et les intentions profondes de ce changement stratégique dans la politique militaire française en Afrique.
Il est important de rappeler que la décision du Président Bassirou Diomaye D. Faye soutenu par une bonne partie de l’opinion publique sénégalaise dominée par une nouvelle génération d’acteurs politiques, est avant tout motivée par une volonté légitime de renforcer la souveraineté nationale. Une quête de souveraineté qui n’est en aucun cas une impulsion anticoloniale, comme pourrait le suggérer certains esprits mal intentionnés.
Le Président Bassirou Diomaye D. Faye, le Premier Ministre Ousmane Sonko et son gouvernement sont animés par une démarche rationnelle visant à affirmer notre indépendance géopolitique et à prendre pleinement en charge la gestion des préoccupations nationales, dans l’intérêt du peuple sénégalais.
A ceux qui avec l’expérience et le recul, comprennent les enjeux du moment : pourquoi ne pas soutenir un nouveau régime incarné par une jeune garde intègre, intelligente et patriote, qui œuvre concrètement à moderniser notre cher Sénégal ?
Pourquoi refuser de soutenir un projet ambitieux qui, dans le cadre d’une nouvelle stratégie sécuritaire adaptée aux réalités et défis actuels de l’Afrique subsaharienne, vise à redonner et garantir une politique sécuritaire solide, tout en initiant des actions concrètes pour réaliser un Sénégal sur et prospère ?
Le retrait des troupes françaises ne se limite pas un simple réajustement diplomatique, mais constitue plutôt une étape essentielle dans la reconstruction d’une politique de défense indépendante, visant à renforcer notre capacité à définir notre avenir sans être dépendants d’une puissance étrangère.
La reconnaissance des sacrifices des soldats africains lors du 2nd conflit mondial 39-45
Les massacres de Thiaroye ne sont qu’un épisode parmi d’autres dans la longue série des tragédies coloniales, où les aspirations des peuples colonisés à la justice et à la dignité ont été écrasées dans l’oubli.
Aujourd’hui plus que jamais, ce devoir de mémoire nous pousse à revisiter l’histoire coloniale avec honnêteté et à honorer la vérité et la justice pour les générations futures. La reconnaissance des sacrifices des soldats et des peuples colonisés reste une exigence fondamentale. L'engagement du Premier Ministre Ousmane Sonko et son gouvernement pour défendre la mémoire des héros oubliés incarne une revendication inébranlable pour leur dignité et pour des réparations légitimes, afin que l’histoire rende enfin hommage à ceux qui ont été trahis et abandonnés après avoir combattu pour une liberté qui leur était refusée.
Un clin d’œil : l’ART comme instrument de la justice historique
Cette tragédie, longtemps reléguée aux marges de l’histoire officielle, a récemment été mise en lumière par le clip "Jambaar Remix" de Dip Doundou Guiss, une figure du hip-hop sénégalais. Ce morceau, vibrant hommage aux tirailleurs africains, reconstitue avec émotion l’épisode tragique de Thiaroye. Créé par Dembel Sow et Oumar Diagne à l'aide de diverses technologies, ce projet représente une fusion innovante entre l'art et la technologie pour transmettre un message de mémoire et de justice.
ABDU DIALY
Riverain du Saint Laurent
Un pouvoir ambitieux implique une responsabilité tout aussi grande.
L’origine de la classe sociale ou familiale, bien qu’elle puisse façonner les trajectoires individuelles ne saurait offrir de protection contre les inégalités ou garantir une place dans l’ordre politique et/ou social. Il subsiste au sein de l’intelligentsia sénégalaise une caste de mercenaires intellectuels, sous couvert du journalisme.
Je ne comprends pas pourquoi il est si difficile de trouver un moyen de se réunir autour de l’essentiel et d’avoir au moins un objectif commun, afin de ne pas devenir, vous savez, des rabat-joie. C’est le symptôme d’une époque malade, ou la post-vérité gangrène certains journalistes mercenaires. Lorsqu’on efface la frontière entre le vrai et le faux, on ouvre un gouffre dans lequel n’importe quel manipulateur de faible envergure peut s’engouffrer.
La question du retrait des troupes françaises du Sénégal
Le Sénégal, tout comme d’autres pays du continent, cherche à évoluer dans un monde multipolaire, où chaque nation peut défendre ses intérêts sans ingérence extérieure. Cette démarche vise à affirmer des politiques extérieures plus équilibrées et respectueuses de l’autodétermination des nations africaines.
Il est évident que la question du retrait des troupes françaises du Sénégal, ainsi que la demande de souveraineté formulée par notre gouvernement sous l’impulsion de la jeune garde patriote, emmenée par le Premier Ministre Ousmane Sonko, ne reflètent pas pleinement les réalités complexes et les intentions profondes de ce changement stratégique dans la politique militaire française en Afrique.
Il est important de rappeler que la décision du Président Bassirou Diomaye D. Faye soutenu par une bonne partie de l’opinion publique sénégalaise dominée par une nouvelle génération d’acteurs politiques, est avant tout motivée par une volonté légitime de renforcer la souveraineté nationale. Une quête de souveraineté qui n’est en aucun cas une impulsion anticoloniale, comme pourrait le suggérer certains esprits mal intentionnés.
Le Président Bassirou Diomaye D. Faye, le Premier Ministre Ousmane Sonko et son gouvernement sont animés par une démarche rationnelle visant à affirmer notre indépendance géopolitique et à prendre pleinement en charge la gestion des préoccupations nationales, dans l’intérêt du peuple sénégalais.
A ceux qui avec l’expérience et le recul, comprennent les enjeux du moment : pourquoi ne pas soutenir un nouveau régime incarné par une jeune garde intègre, intelligente et patriote, qui œuvre concrètement à moderniser notre cher Sénégal ?
Pourquoi refuser de soutenir un projet ambitieux qui, dans le cadre d’une nouvelle stratégie sécuritaire adaptée aux réalités et défis actuels de l’Afrique subsaharienne, vise à redonner et garantir une politique sécuritaire solide, tout en initiant des actions concrètes pour réaliser un Sénégal sur et prospère ?
Le retrait des troupes françaises ne se limite pas un simple réajustement diplomatique, mais constitue plutôt une étape essentielle dans la reconstruction d’une politique de défense indépendante, visant à renforcer notre capacité à définir notre avenir sans être dépendants d’une puissance étrangère.
La reconnaissance des sacrifices des soldats africains lors du 2nd conflit mondial 39-45
Les massacres de Thiaroye ne sont qu’un épisode parmi d’autres dans la longue série des tragédies coloniales, où les aspirations des peuples colonisés à la justice et à la dignité ont été écrasées dans l’oubli.
Aujourd’hui plus que jamais, ce devoir de mémoire nous pousse à revisiter l’histoire coloniale avec honnêteté et à honorer la vérité et la justice pour les générations futures. La reconnaissance des sacrifices des soldats et des peuples colonisés reste une exigence fondamentale. L'engagement du Premier Ministre Ousmane Sonko et son gouvernement pour défendre la mémoire des héros oubliés incarne une revendication inébranlable pour leur dignité et pour des réparations légitimes, afin que l’histoire rende enfin hommage à ceux qui ont été trahis et abandonnés après avoir combattu pour une liberté qui leur était refusée.
Un clin d’œil : l’ART comme instrument de la justice historique
Cette tragédie, longtemps reléguée aux marges de l’histoire officielle, a récemment été mise en lumière par le clip "Jambaar Remix" de Dip Doundou Guiss, une figure du hip-hop sénégalais. Ce morceau, vibrant hommage aux tirailleurs africains, reconstitue avec émotion l’épisode tragique de Thiaroye. Créé par Dembel Sow et Oumar Diagne à l'aide de diverses technologies, ce projet représente une fusion innovante entre l'art et la technologie pour transmettre un message de mémoire et de justice.
ABDU DIALY
Riverain du Saint Laurent