Mouhamed Ndiaye, conseiller technique en charge de la supervision de l’enseignement supérieur privé au ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, a invité, vendredi, les établissements privés d’enseignement supérieur (EPES) à « passer à l’habilitation institutionnelle », afin de « pouvoir se hisser au même niveau que le public ».
« J’invite les EPES à passer à l’habilitation institutionnelle. C’est un élément important qui permettra au privé de pouvoir se hisser au même niveau que le public », a expliqué M. Ndiaye. Il a lancé cet appel lors d’un atelier d’échange sur les problématiques des EPES, organisé ce vendredi à Dakar, dans le but d’aboutir à une réflexion approfondie autour des préoccupations des EPES. débouchant sur des propositions de solutions qui permettront à ces établissements de ‘’disposer de capacités pour répondre aux défis actuels et futurs et résorber la demande en enseignement supérieur ».
L’objectif, selon lui, est de mettre en place l’équité, de faire en sorte que le privé puisse, au même titre que le public, atteindre la qualité en matière d’orientation. « Aujourd’hui, si nous voulons relever le défi de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, il ne faudrait pas faire la distinction entre le public et le privé. Il faudrait miser sur la qualité, sur l’innovation, sur la filière et la liberté », a estimé Mouhamed Ndiaye.
Il a rappelé que dès sa prise de fonction, le ministre de l’enseignement a décidé, avec les acteurs du secteur, de réfléchir sur les modalités permettant d’assurer une orientation des bacheliers sur la base de leur choix, en permettant à l’étudiant d’aller vers le public ou le privé suivant sa préférence.
Les résultats de l’atelier devront aussi servir de base pour « former qualitativement des diplômés de l’enseignement supérieur dans les différents secteurs de la vie nationale ». Ils devront aussi contribuer à « exploiter les opportunités offertes par le monde socio-professionnel et (…) jeter les bases d’une paix sociale en évitant les tensions et perturbations engendrées par la surpopulation des universités ».
« J’invite les EPES à passer à l’habilitation institutionnelle. C’est un élément important qui permettra au privé de pouvoir se hisser au même niveau que le public », a expliqué M. Ndiaye. Il a lancé cet appel lors d’un atelier d’échange sur les problématiques des EPES, organisé ce vendredi à Dakar, dans le but d’aboutir à une réflexion approfondie autour des préoccupations des EPES. débouchant sur des propositions de solutions qui permettront à ces établissements de ‘’disposer de capacités pour répondre aux défis actuels et futurs et résorber la demande en enseignement supérieur ».
L’objectif, selon lui, est de mettre en place l’équité, de faire en sorte que le privé puisse, au même titre que le public, atteindre la qualité en matière d’orientation. « Aujourd’hui, si nous voulons relever le défi de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, il ne faudrait pas faire la distinction entre le public et le privé. Il faudrait miser sur la qualité, sur l’innovation, sur la filière et la liberté », a estimé Mouhamed Ndiaye.
Il a rappelé que dès sa prise de fonction, le ministre de l’enseignement a décidé, avec les acteurs du secteur, de réfléchir sur les modalités permettant d’assurer une orientation des bacheliers sur la base de leur choix, en permettant à l’étudiant d’aller vers le public ou le privé suivant sa préférence.
Les résultats de l’atelier devront aussi servir de base pour « former qualitativement des diplômés de l’enseignement supérieur dans les différents secteurs de la vie nationale ». Ils devront aussi contribuer à « exploiter les opportunités offertes par le monde socio-professionnel et (…) jeter les bases d’une paix sociale en évitant les tensions et perturbations engendrées par la surpopulation des universités ».