En France, l'usage de drogue est pénalisé, qu'il s'agisse d'héroine, de cocaine, d'ectasy ou de cannabis. Le tarif est élevé, il peut aller jusqu'à un an de prison et 3 750 euros d'amendes, mais l'auteur du délit peut choisir une alternative thérapeutique.
Cela fait de la France un des états les plus répressifs en Europe. Un groupe de pays a fait le choix de dépénaliser l'usage. Les usagers n'encourent plus que des sanctions administratives. Il s'agit de l'Irlande, de l'Italie, de l'Espagne, de la république Tchèque et du Portugal. En Allemagne, en Autriche et en Hongrie les usagers n'encourent pas une peine de prison.
Les Pays-Bas font preuve d'une extrême tolérance à la vente et à la consommation puisqu'il existe des coffee-shops ou le cannabis est vendu en toute légalité mais le trafic reste sévèrement réprimé comme dans toute l'Europe.
C'est un rapport publié aux Etats-Unis par la Commission mondiale sur la politique des drogues (qui compte en son sein notamment Kofi Annan, Mario Vargas Lllosa et Javier Solana) qui vient de faire le constat de l'échec du combat mondial contre la drogue. Ce rapport établit que la situation actuelle n'est bonne « ni pour les pays producteurs, ni pour les pays consommateurs ». Ce qui encourage certains comme le socialiste François Hollande à demander une commission à l'échelle de l'Europe pour envisager les conséquences de la dépénalisation du cannabis.
Source: Rfi.fr
Cela fait de la France un des états les plus répressifs en Europe. Un groupe de pays a fait le choix de dépénaliser l'usage. Les usagers n'encourent plus que des sanctions administratives. Il s'agit de l'Irlande, de l'Italie, de l'Espagne, de la république Tchèque et du Portugal. En Allemagne, en Autriche et en Hongrie les usagers n'encourent pas une peine de prison.
Les Pays-Bas font preuve d'une extrême tolérance à la vente et à la consommation puisqu'il existe des coffee-shops ou le cannabis est vendu en toute légalité mais le trafic reste sévèrement réprimé comme dans toute l'Europe.
C'est un rapport publié aux Etats-Unis par la Commission mondiale sur la politique des drogues (qui compte en son sein notamment Kofi Annan, Mario Vargas Lllosa et Javier Solana) qui vient de faire le constat de l'échec du combat mondial contre la drogue. Ce rapport établit que la situation actuelle n'est bonne « ni pour les pays producteurs, ni pour les pays consommateurs ». Ce qui encourage certains comme le socialiste François Hollande à demander une commission à l'échelle de l'Europe pour envisager les conséquences de la dépénalisation du cannabis.
Source: Rfi.fr