L’évêque du diocèse de Nouakchott a été choisi pour présider la messe de la 123e édition du pèlerinage marial de Popenguine qui aura lieu ce lundi de Pentecôte, a annoncé hier le directeur adjoint des œuvres catholiques, l’Abbé Louis Alphonse Ndong.
Il a expliqué ce choix par le fait que ce pèlerinage a pris une dimension sous sous-régionale.
«Des fidèles de pays de la sous-région, comme la Mauritanie, la Guinée Bissau le Cap-Vert y participent régulièrement depuis quelques années», a-t-il argumenté au micro de la Rfm (privée).
Selon lui, c’est dans ce cadre que l’évêque de Nouakchott, présidera la grande cérémonie de cette année. «C’est un système de rotation qui fait que chaque année on permet à un évêque de la sous-région de venir présider la messe», a indiqué l’Abbé Louis Alphone Ndong.
Il a expliqué l’autre innovation de cette édition 2011 du pèlerinage Marial est la mise en place de la «tente de la rencontre», un lieu de silence, de prières, d’adoration, de dévotion, de rencontre avec le Seigneur. Cette tente permettra à tous ceux qui veulent prier de s’y rendre, «car ils y trouveront un cadre propice à la prière grâce au silence».
Il a expliqué ce choix par le fait que ce pèlerinage a pris une dimension sous sous-régionale.
«Des fidèles de pays de la sous-région, comme la Mauritanie, la Guinée Bissau le Cap-Vert y participent régulièrement depuis quelques années», a-t-il argumenté au micro de la Rfm (privée).
Selon lui, c’est dans ce cadre que l’évêque de Nouakchott, présidera la grande cérémonie de cette année. «C’est un système de rotation qui fait que chaque année on permet à un évêque de la sous-région de venir présider la messe», a indiqué l’Abbé Louis Alphone Ndong.
Il a expliqué l’autre innovation de cette édition 2011 du pèlerinage Marial est la mise en place de la «tente de la rencontre», un lieu de silence, de prières, d’adoration, de dévotion, de rencontre avec le Seigneur. Cette tente permettra à tous ceux qui veulent prier de s’y rendre, «car ils y trouveront un cadre propice à la prière grâce au silence».