L’histoire du Sénégal a toujours prouvé que l’engagement des jeunes et des femmes a précipité les alternances politiques. Ainsi on peut rappeler aisément que ce sont les jeunes qui ont porté à la magistrature suprême Abdoulaye Wade en 2000 ainsi que Macky Sall douze plus tard. Ce sont particulièrement ces jeunes qui ont imposé récemment un rapport de forces au régime actuel pour empêcher l’emprisonnement de l’opposant Ousmane Sonko.
Fort de ces constats factuels, il est clair que notre engagement ne souffre d’aucune fébrilité. Alors, il est temps qu’une responsabilisation plus effective et proportionnelle des jeunes s’impose. À l'endroit de mes frères et sœurs, cette jeunesse qui compose la population à hauteur de 67%, soit 11millions de Sénégalais, j'aimerais rappeler ceci:
Parmi les martyrs, le plus âgé n’a que 35 ans !
Un autre constat tristement vrai : À l’Assemblée nationale, chambre des représentants du peuple, il n’y a pas plus de 2% de députés jeunes ! Ce qui est un paradoxe et une erreur à corriger le plus rapidement possible.
Il est alors impératif que nous jeunes, des différents partis politiques, des mouvements citoyens et des listes indépendantes, exigeons que sur dix investis sur les listes électorales que les quatre au minimum soient des jeunes.
Si nous nous ne battons pas pour imposer le débat sur notre situation socio-économique, dans les espaces d'expression politique, notamment à l'Assemblée nationale, dans les conseils municipaux et départementaux, ainsi qu'au sein de toutes les instances influentes et décisives par la voie élective et démocratique, nous risquons malheureusement de le faire par la violence.
Ce qui s'est passé récemment en est une parfaite illustration. Nous ne voulons plus de ça.
Lorsqu’il s’agit de mener tous les combats, nous sommes au premier rang. Donc notre responsabilité après ce cap est de retrouver notre véritable place. C’est notre temps concrétisons-le!
Nous les jeunes, nous sommes suffisamment responsables, bien formés et bien outillés pour répondre aux exigences de l’heure. Sachez que nous sommes décidés à remplir notre mission.
Et bien évidemment, nous tâcherons de garder l’humilité intacte devant nos aînés.
Par Awa NDOYE
Adjointe SN Élections /PASTEF
Fort de ces constats factuels, il est clair que notre engagement ne souffre d’aucune fébrilité. Alors, il est temps qu’une responsabilisation plus effective et proportionnelle des jeunes s’impose. À l'endroit de mes frères et sœurs, cette jeunesse qui compose la population à hauteur de 67%, soit 11millions de Sénégalais, j'aimerais rappeler ceci:
Parmi les martyrs, le plus âgé n’a que 35 ans !
Un autre constat tristement vrai : À l’Assemblée nationale, chambre des représentants du peuple, il n’y a pas plus de 2% de députés jeunes ! Ce qui est un paradoxe et une erreur à corriger le plus rapidement possible.
Il est alors impératif que nous jeunes, des différents partis politiques, des mouvements citoyens et des listes indépendantes, exigeons que sur dix investis sur les listes électorales que les quatre au minimum soient des jeunes.
Si nous nous ne battons pas pour imposer le débat sur notre situation socio-économique, dans les espaces d'expression politique, notamment à l'Assemblée nationale, dans les conseils municipaux et départementaux, ainsi qu'au sein de toutes les instances influentes et décisives par la voie élective et démocratique, nous risquons malheureusement de le faire par la violence.
Ce qui s'est passé récemment en est une parfaite illustration. Nous ne voulons plus de ça.
Lorsqu’il s’agit de mener tous les combats, nous sommes au premier rang. Donc notre responsabilité après ce cap est de retrouver notre véritable place. C’est notre temps concrétisons-le!
Nous les jeunes, nous sommes suffisamment responsables, bien formés et bien outillés pour répondre aux exigences de l’heure. Sachez que nous sommes décidés à remplir notre mission.
Et bien évidemment, nous tâcherons de garder l’humilité intacte devant nos aînés.
Par Awa NDOYE
Adjointe SN Élections /PASTEF
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