L'imam Ndao est en train de comparaître ce jeudi devant la Chambre criminelle de Dakar pour se défendre des délits d'association de malfaiteurs, apologie du terrorisme, blanchiment de capitaux etc.
Interrogé sur sa prétendue volonté à instaurer la Charia au Sénégal, l'imam Alioune Badara Ndao a laissé entendre devant le tribunal que même si cela devait se faire, ce ne serait pas par la force et contre la volonté des populations.
"On ne peut pas implanter la charia au Sénégal sans la volonté du peuple. Il n’y a pas de contrainte en matière de religion. Nous faisons nos sermons pour rappeler les recommandations divines, après les gens sont libres de suivre. Aucune loi ne peut s’appliquer au Sénégal sans la volonté du peuple sénégalais", a-t-il répondu.
Sur ses liens avec Makhtar Diokhané, l'imam déclare qu'il connait le prévenu depuis le collège, mais nie avoir muri avec lui des projets allant dans le sens du djihadisme
Interrogé sur sa prétendue volonté à instaurer la Charia au Sénégal, l'imam Alioune Badara Ndao a laissé entendre devant le tribunal que même si cela devait se faire, ce ne serait pas par la force et contre la volonté des populations.
"On ne peut pas implanter la charia au Sénégal sans la volonté du peuple. Il n’y a pas de contrainte en matière de religion. Nous faisons nos sermons pour rappeler les recommandations divines, après les gens sont libres de suivre. Aucune loi ne peut s’appliquer au Sénégal sans la volonté du peuple sénégalais", a-t-il répondu.
Sur ses liens avec Makhtar Diokhané, l'imam déclare qu'il connait le prévenu depuis le collège, mais nie avoir muri avec lui des projets allant dans le sens du djihadisme