Pour Abdoul Aziz Seck, « la magistrature en tant que corps est indépendante et c’est la Constitution qui le dit maintenant dans la pratique il faut mettre un bémol à ce principe. L’Ums a toujours dit qu’il faut des réformes pour rendre cette indépendance effective. Nous avons toujours demandé des réformes en agissant sur deux leviers, le premier levier c’est la composition et le fonctionnement du Conseil supérieur de la magistrature. Conseil présidé par le président de la République avec le ministre de la justice comme vice-président. Une structure qui gère la carrière des magistrats et qui est dirigée par l’Exécutif, on peut penser à un manque d’indépendance ».
Sur ce point l’Ums soutient que le conseil supérieur de la magistrature doit-être diriger dans l’architecture actuelle de la magistrature par le premier président de la cour suprême qui est le magistrat le plus gradé, « le chef de la compagnie des magistrats ». En plus, « dans la composition, il y a les chefs de cours, des membres élus au nombre de trois qui représentent la base, un nombre qu’on doit augmenter ».
« Le second levier c’est faire en sorte que le principe de l’inamovibilité des magistrats du siège soit respecté. Le pouvoir exécutif a un moyen de pression sur le pouvoir judicaire et cela est matérialisé par la tutelle qui est le ministère de la justice », explique le président de l’Ums. Seulement pour Abdoul Aziz Seck qui était dans l’émission grand jury de la Rfm de ce dimanche, « les magistrats pris individuellement sont dans l’écrasante majorité indépendante même s’il y a quelques brebis galeuses ».
Sur ce point l’Ums soutient que le conseil supérieur de la magistrature doit-être diriger dans l’architecture actuelle de la magistrature par le premier président de la cour suprême qui est le magistrat le plus gradé, « le chef de la compagnie des magistrats ». En plus, « dans la composition, il y a les chefs de cours, des membres élus au nombre de trois qui représentent la base, un nombre qu’on doit augmenter ».
« Le second levier c’est faire en sorte que le principe de l’inamovibilité des magistrats du siège soit respecté. Le pouvoir exécutif a un moyen de pression sur le pouvoir judicaire et cela est matérialisé par la tutelle qui est le ministère de la justice », explique le président de l’Ums. Seulement pour Abdoul Aziz Seck qui était dans l’émission grand jury de la Rfm de ce dimanche, « les magistrats pris individuellement sont dans l’écrasante majorité indépendante même s’il y a quelques brebis galeuses ».
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