« Je suis fier d'être de retour, a lancé Carles Puigdemont, cela n'a pas été un voyage facile, mais ce ne sera pas ma dernière escale. » L'indépendantiste souhaite continuer à faire le tour de l'Europe, voire du monde pour « défendre la cause catalane, la démocratie aussi, jusqu'à ce que les prisonniers politiques soient libérés ».
« Moi, je suis un Européen libre pas uniquement dans l’espace de l’Union européenne, mais dans tout le monde sauf... sauf en Espagne. Peut-être qu’il y a tort sur l’Espagne [sic] », a déclaré Carles Puigdemont.
Carles Puigdemont ne bénéficie officiellement d'aucun soutien de la part des Etats membres de l'Union. L'ancien président compte sur d'autres mouvements indépendantistes comme en Flandre, en Belgique ou en Ecosse.
« Ça va continuer comme ça, dit-il. Ailleurs en Europe et surtout aussi en Flandre il y a des amis de la démocratie, des amis de droits fondamentaux. Et donc là où il y a des amis de droits fondamentaux il y a aussi notre partenaire. »
C'est désormais depuis Waterloo, où il loue une villa, rebaptisée Maison de la République, que Carles Puigdemont va continuer son combat.
« Moi, je suis un Européen libre pas uniquement dans l’espace de l’Union européenne, mais dans tout le monde sauf... sauf en Espagne. Peut-être qu’il y a tort sur l’Espagne [sic] », a déclaré Carles Puigdemont.
Carles Puigdemont ne bénéficie officiellement d'aucun soutien de la part des Etats membres de l'Union. L'ancien président compte sur d'autres mouvements indépendantistes comme en Flandre, en Belgique ou en Ecosse.
« Ça va continuer comme ça, dit-il. Ailleurs en Europe et surtout aussi en Flandre il y a des amis de la démocratie, des amis de droits fondamentaux. Et donc là où il y a des amis de droits fondamentaux il y a aussi notre partenaire. »
C'est désormais depuis Waterloo, où il loue une villa, rebaptisée Maison de la République, que Carles Puigdemont va continuer son combat.