Les appels au dialogue lancés par le Pouvoir ne seront pas acceptés ipso facto par l’opposition. Selon le chef de file du Mouvement Tekki, par ailleurs membre de la coalition de l’opposition, Bennoo, il y a des préalables avant toute reprise de dialogue politique.
«Il y a des préalables pour tout dialogue politique, dans la situation actuelle, avec la rupture de confiance qui s’est établi avec les événements du 23 juin où le président de la république passait en force un projet de réforme constitutionnel qui relève de la souveraineté du peuple», a campé Mamadou Lamine Diallo.
«Ce que nous attendons de lui, c’est qu’il prenne la parole, pour nous dire qu’il a compris la jeunesse, qu’il retire sa candidature aux élections de 2012 et qu’il est prêt à s’engager dans un processus électoral transparent pour des élections régulières et que le ministre de l’intérieur, qui est partisan et qui bloque ce processus soit démis de ses fonctions», a conditionné l’économiste.
C’est partir de moment, croit-il que les fils du dialogue pourraient être renoués.
«Il y a des préalables pour tout dialogue politique, dans la situation actuelle, avec la rupture de confiance qui s’est établi avec les événements du 23 juin où le président de la république passait en force un projet de réforme constitutionnel qui relève de la souveraineté du peuple», a campé Mamadou Lamine Diallo.
«Ce que nous attendons de lui, c’est qu’il prenne la parole, pour nous dire qu’il a compris la jeunesse, qu’il retire sa candidature aux élections de 2012 et qu’il est prêt à s’engager dans un processus électoral transparent pour des élections régulières et que le ministre de l’intérieur, qui est partisan et qui bloque ce processus soit démis de ses fonctions», a conditionné l’économiste.
C’est partir de moment, croit-il que les fils du dialogue pourraient être renoués.