Manchester City est prêt à tout pour sa survie européenne. Exclus par l’UEFA de toutes compétitions européennes pour les deux prochaines saisons, les dirigeants du double champion d’Angleterre en titre vont bien évidemment faire appel auprès du Tribunal Arbitral du Sport (TAS), comme l’avait indiqué le club dans un communiqué en réponse à sa sanction. Et le Mirror précise que dans sa tentative d’annuler son exclusion par l’instance européenne, les Citizens pourraient amener Liverpool à se retrouver sur le banc des accusés et ne laisseront rien de côté. La raison ? Une affaire d’espionnage remontant en 2013, sur fond de concurrence entre les deux formations. Deux recruteurs des Skyblues avaient rejoint les rangs des Reds.
Manchester City avait embauché des experts en sécurité informatique pour prouver que ces deux ex-employés avaient par la suite utilisé plusieurs fois l’accès de City au système Scout7 (une base de données faisant partie d’OptaPro pour étudier les performances de centaines de milliers de joueurs dans le monde). La FA n’avait pas donné suite à cette affaire puisque les deux clubs avaient trouvé un arrangement, les Reds versant notamment 1,2M€ à City. Mais comme le club entraîné par Pep Guardiola estime que la sanction infligée à son égard est basée sur une série de mails illégalement obtenus pris hors de leur contexte pour le punir, une enquête aura lieu sur la façon dont les Citizens ont renforcé leur sécurité informatique, après l’épisode d’espionnage avec Liverpool, en 2013 donc. Et le hic est là pour Jürgen Klopp et les siens : la Fédération anglaise a convenu qu’elle rouvrirait cette affaire si de nouvelles preuves venaient à être dévoilées. Ce qui pourrait bien être le cas dans le dossier de Manchester City face à l’UEFA... Une affaire complexe qui pourrait bien avoir de multiples conséquences.
Avec Footmercato
Manchester City avait embauché des experts en sécurité informatique pour prouver que ces deux ex-employés avaient par la suite utilisé plusieurs fois l’accès de City au système Scout7 (une base de données faisant partie d’OptaPro pour étudier les performances de centaines de milliers de joueurs dans le monde). La FA n’avait pas donné suite à cette affaire puisque les deux clubs avaient trouvé un arrangement, les Reds versant notamment 1,2M€ à City. Mais comme le club entraîné par Pep Guardiola estime que la sanction infligée à son égard est basée sur une série de mails illégalement obtenus pris hors de leur contexte pour le punir, une enquête aura lieu sur la façon dont les Citizens ont renforcé leur sécurité informatique, après l’épisode d’espionnage avec Liverpool, en 2013 donc. Et le hic est là pour Jürgen Klopp et les siens : la Fédération anglaise a convenu qu’elle rouvrirait cette affaire si de nouvelles preuves venaient à être dévoilées. Ce qui pourrait bien être le cas dans le dossier de Manchester City face à l’UEFA... Une affaire complexe qui pourrait bien avoir de multiples conséquences.
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