Scandale au pays de l’Oncle Sam. Beyoncé, la diva bien connue pour sa voix puissante et son indéniable charisme, n’aurait pas pris la peine de chanter en direct lors de l’investiture de Barack Obama lundi. Elle qui a bâti une partie de son succès sur ses performances vocales impressionnantes aurait préféré passer une bande préenregistrée plutôt que de faire une erreur devant des millions de personnes. Une enquête du «Times» a révélé que l’épouse de Jay Z aurait en effet changé d’avis quelques minutes avant de monter sur le balcon du capitole et aurait préféré passer une prestation enregistrée la veille à la place de son direct. La porte-parole du corps musical des Marines, qui jouait ce jour-là, a fait savoir au «New York Times» que l’orchestre avait été informé de ce changement quelques instants seulement avant le début du show. «On ne sait pas pourquoi, a-t-elle expliqué au quotidien américain. Mais c’est ce qu’on nous a dit de faire…»
«Ce n’est pas parce que Beyoncé ne sait pas chanter. Nous savons tous qu'elle sait chanter. Et nous savons tous qu'un orchestre des Marines peut jouer», a-t-elle ajouté sur ABC News. Elle a poursuivi en expliquant que les musiciens avaient revanche bel et bien joué en direct lors des autres prestations, notamment celle de la chanteuse Kelly Clarkson. Le Capitale Gregory Wolf, chargé des médias au Pentagone, a de son côté fait savoir dans un communiqué que Beyoncé n’avait pas eu le temps de répéter avec les membres de l’orchestre et que, par conséquent, il avait été convenu que le groupe ne jouerait pas en live. Il a cependant confié ne pas savoir si la chanteuse, elle, était bien en direct ou pas.
«Ce n’est pas parce que Beyoncé ne sait pas chanter. Nous savons tous qu'elle sait chanter. Et nous savons tous qu'un orchestre des Marines peut jouer», a-t-elle ajouté sur ABC News. Elle a poursuivi en expliquant que les musiciens avaient revanche bel et bien joué en direct lors des autres prestations, notamment celle de la chanteuse Kelly Clarkson. Le Capitale Gregory Wolf, chargé des médias au Pentagone, a de son côté fait savoir dans un communiqué que Beyoncé n’avait pas eu le temps de répéter avec les membres de l’orchestre et que, par conséquent, il avait été convenu que le groupe ne jouerait pas en live. Il a cependant confié ne pas savoir si la chanteuse, elle, était bien en direct ou pas.
«ELLE N’A PAS VOULU PRENDRE DE RISQUES»
La star, en pleine polémique, refuse toujours de s’expliquer mais peut compter sur un soutien de poids. Aretha Franklin, qui a chanté lors de la première investiture de Barack Obama en 2009, a défendu Beyoncé sur ABC News. «Quand j'ai entendu la nouvelle comme quoi Beyoncé avait chanté en playback, j'ai ri. J'ai trouvé ça vraiment amusant, car les conditions météorologiques étaient mauvaises - environ 7 degrés celsius- et, pour la plupart des chanteurs, il est impossible de chanter par ce temps. Elle a fait un boulot formidable malgré tout», a-t-elle expliqué.
«Je ne suis pas surprise qu’elle ait préenregistré une version. Elle voulait que sa performance soit telle qu’elle l’avait imaginée et elle a réalisé que cela ne se passerait pas comme ça. Elle n’a pas voulu prendre de risques», a poursuivi la reine de la soul. Espérons pour Beyoncé que le temps soit plus clément le 3 février prochain. Ce soir-là, des millions d’Américains auront les yeux rivés sur elle alors qu’elle entonnera une nouvelle fois «The Star-Spangled Banner» lors de la mi-temps du Superbowl.
La star, en pleine polémique, refuse toujours de s’expliquer mais peut compter sur un soutien de poids. Aretha Franklin, qui a chanté lors de la première investiture de Barack Obama en 2009, a défendu Beyoncé sur ABC News. «Quand j'ai entendu la nouvelle comme quoi Beyoncé avait chanté en playback, j'ai ri. J'ai trouvé ça vraiment amusant, car les conditions météorologiques étaient mauvaises - environ 7 degrés celsius- et, pour la plupart des chanteurs, il est impossible de chanter par ce temps. Elle a fait un boulot formidable malgré tout», a-t-elle expliqué.
«Je ne suis pas surprise qu’elle ait préenregistré une version. Elle voulait que sa performance soit telle qu’elle l’avait imaginée et elle a réalisé que cela ne se passerait pas comme ça. Elle n’a pas voulu prendre de risques», a poursuivi la reine de la soul. Espérons pour Beyoncé que le temps soit plus clément le 3 février prochain. Ce soir-là, des millions d’Américains auront les yeux rivés sur elle alors qu’elle entonnera une nouvelle fois «The Star-Spangled Banner» lors de la mi-temps du Superbowl.