L’intelligence de Mourinho. Pour sa première saison au Real, José Mourinho est arrivé avec ses principes. La solidité prime sur le spectacle, dans son esprit. Mais dans les tribunes de Santiago Bernabeu, les socios font la gueule. Le Real s’incline devant la classe du Barça et sa qualité de jeu, trop faible, pose problème dans un pays où le toque est roi. Mais le technicien sait se remettre en question. Tout l’été, il prépare sa formation pour améliorer la qualité de jeu. Le résultat est saisissant. Le Real cartonne, les buts et les victoires s’enchaînent. Bernabeu retrouve le sourire. Et les Madrilènes sont sacrés champions. Partout où Mourinho passe, les autres trépassent.
L’empreinte Ronaldo. Alors oui, Messi et ses exploits attirent la plupart des projecteurs et ne facilitent pas l’exposition des fulgurances de Ronaldo. Mais pour sa troisième saison à Madrid, l’international portugais s’est montré épatant. Encore buteur ce soir contre Bilbao, il compte pour le moment 44 réalisations en Liga. La quantité, couplée à l’efficacité. En marquant le deuxième but du Real face au Barça le 21 avril dernier, l’ancien joueur de Manchester a directement offert le titre à sa formation. Et si c’était lui, le futur ballon d’or ?
Benzema, le cadre. Mourinho le comparait à un petit chat, bien trop tendre pour le haut niveau. Cette saison, Karim lui a montré qu’il avait les épaules assez larges pour le très haut niveau. Impeccable dans le jeu, l’ancien lyonnais a passé un cap dans l’efficacité devant les buts, et effacé le concurrent Higuain. Avec Ronaldo et Özil, Benzema incarne cette année la réussite offensive du nouveau champion d’Espagne. Et s’impose comme l’un des tout meilleurs attaquants de la planète football.
Le10sport
L’empreinte Ronaldo. Alors oui, Messi et ses exploits attirent la plupart des projecteurs et ne facilitent pas l’exposition des fulgurances de Ronaldo. Mais pour sa troisième saison à Madrid, l’international portugais s’est montré épatant. Encore buteur ce soir contre Bilbao, il compte pour le moment 44 réalisations en Liga. La quantité, couplée à l’efficacité. En marquant le deuxième but du Real face au Barça le 21 avril dernier, l’ancien joueur de Manchester a directement offert le titre à sa formation. Et si c’était lui, le futur ballon d’or ?
Benzema, le cadre. Mourinho le comparait à un petit chat, bien trop tendre pour le haut niveau. Cette saison, Karim lui a montré qu’il avait les épaules assez larges pour le très haut niveau. Impeccable dans le jeu, l’ancien lyonnais a passé un cap dans l’efficacité devant les buts, et effacé le concurrent Higuain. Avec Ronaldo et Özil, Benzema incarne cette année la réussite offensive du nouveau champion d’Espagne. Et s’impose comme l’un des tout meilleurs attaquants de la planète football.
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