#karim wade
La Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI) s’étant déclarée compétente à connaitre de l’affaire opposant Karim Wade à l’Etat du Sénégal, lundi, à l’occasion du 5e jour, quelle suite pour ce procès parti pour rester dans les annales judiciaires? Réponse aujourd'hui, à l'occasion de la 6e journée qui s'ouvre ce matin au palais de justice de Dakar.
En effet, une suspension d’un jour (mardi) avait été accordée aux avocats de l’ancien ministre de la coopération internationale pour plaider leur pourvoi devant la Cour Suprême. Un pourvoi rejeté suite au rabat d’arrêt introduit par le parquet de la cour spéciale. Les magistrats debout ont argué le vice de procédure. Ils reprochent aux conseils du fils de l’ancien président de la république, de ne pas avoir saisi le greffe de la Cour Suprême comme requis par la loi.
Le pourvoi a donc été déclaré irrecevable par les chambres criminelle et pénale réunies.
Ainsi, la Cour Suprême s’est dédite car, sa chambre criminelle avait rendu un arrêt le 6 février 2014 en faveur de Karim Wade. Mais ça s’était avant le rabat d’arrêt de formulé par la parquet spécial.
Une paire de manche de perdu par la défense avant de retrouver le prétoire aujourd’hui pour l’acte 6 de ce feuilleton judiciaire riche en événements et en rebondissements.
Le fond du dossier n'a toujours pas été débattu. Les exceptions les unes après les autres ont été soulevées depuis le début de ce procès, le 31 juillet.
En effet, une suspension d’un jour (mardi) avait été accordée aux avocats de l’ancien ministre de la coopération internationale pour plaider leur pourvoi devant la Cour Suprême. Un pourvoi rejeté suite au rabat d’arrêt introduit par le parquet de la cour spéciale. Les magistrats debout ont argué le vice de procédure. Ils reprochent aux conseils du fils de l’ancien président de la république, de ne pas avoir saisi le greffe de la Cour Suprême comme requis par la loi.
Le pourvoi a donc été déclaré irrecevable par les chambres criminelle et pénale réunies.
Ainsi, la Cour Suprême s’est dédite car, sa chambre criminelle avait rendu un arrêt le 6 février 2014 en faveur de Karim Wade. Mais ça s’était avant le rabat d’arrêt de formulé par la parquet spécial.
Une paire de manche de perdu par la défense avant de retrouver le prétoire aujourd’hui pour l’acte 6 de ce feuilleton judiciaire riche en événements et en rebondissements.
Le fond du dossier n'a toujours pas été débattu. Les exceptions les unes après les autres ont été soulevées depuis le début de ce procès, le 31 juillet.