Le moins que l’on puisse dire est que la CAP 21 est très remontée contre les déclarations de certains hommes politique de l’opposition. Dans une déclaration, les alliés de Wade ont vivement dénoncé le comportement de ténors de l’opposition qui n’ont rien à proposer en termes de projet politique et n’ont plus comme argument que l’injure, la grossièreté et l’appel à la violence.
«Depuis quelques temps, certains élément de notre opposition politique, convaincus qu’avec la candidature du président Wade aux élections 2012, ils vont, (…), enregistrer une défaite retentissante, qui prouvera que la page des élections locales de2009 est, définitivement, tournée, s’énervent de plus en plus et font désormais de l’appel à la violence et du chantage, leurs armes favorites», peut-on lire dans leur déclaration.
Les alliés de Me Wade rappellent qu’il y a quelques jours, un quotidien a prétendu qu’un leader politique avait déclaré qu’il «fallait sortir le Président Wade du Palais et le brûler». Deux jours après, un autre proclamait que si Wade s’accroche à un pouvoir que le peuple lui a, démocratiquement, attribué, c’est le «bâton qui le fera partir».
Pour Iba Der Thiam et compagnie, «il s’agit là, sans plus ni moins, d’actes assimilables à une apologie et un appel au meurtre, indignes de personnes qui aspirent à diriger notre pays».
Considérant que de tels propos peuvent avoir des effets, la CAP 21 a tenu à avertir : «la CAP 21 tiendra les auteurs de tels propos responsables de tout acte ou événement que leurs dires pourraient entrainer dans le court, moyen et long terme(…) d’ici les élections de 2012 et même après».
Selon cette coalition, «on ne construit pas une démocratie en faisant montre d’indifférence ou en acceptant des dérives verbales irresponsables n’entrainant aucune conséquence pour leurs auteurs. Car autant la tolérance est une bonne chose, la mansuétude et la magnanimité le sont aussi, à la seule condition qu’elles ne soient pas comprises comme étant l’expression d’un état de faiblesse.
«Depuis quelques temps, certains élément de notre opposition politique, convaincus qu’avec la candidature du président Wade aux élections 2012, ils vont, (…), enregistrer une défaite retentissante, qui prouvera que la page des élections locales de2009 est, définitivement, tournée, s’énervent de plus en plus et font désormais de l’appel à la violence et du chantage, leurs armes favorites», peut-on lire dans leur déclaration.
Les alliés de Me Wade rappellent qu’il y a quelques jours, un quotidien a prétendu qu’un leader politique avait déclaré qu’il «fallait sortir le Président Wade du Palais et le brûler». Deux jours après, un autre proclamait que si Wade s’accroche à un pouvoir que le peuple lui a, démocratiquement, attribué, c’est le «bâton qui le fera partir».
Pour Iba Der Thiam et compagnie, «il s’agit là, sans plus ni moins, d’actes assimilables à une apologie et un appel au meurtre, indignes de personnes qui aspirent à diriger notre pays».
Considérant que de tels propos peuvent avoir des effets, la CAP 21 a tenu à avertir : «la CAP 21 tiendra les auteurs de tels propos responsables de tout acte ou événement que leurs dires pourraient entrainer dans le court, moyen et long terme(…) d’ici les élections de 2012 et même après».
Selon cette coalition, «on ne construit pas une démocratie en faisant montre d’indifférence ou en acceptant des dérives verbales irresponsables n’entrainant aucune conséquence pour leurs auteurs. Car autant la tolérance est une bonne chose, la mansuétude et la magnanimité le sont aussi, à la seule condition qu’elles ne soient pas comprises comme étant l’expression d’un état de faiblesse.