En effet, le mollah avait traité les responsables de la CENTIF de corrompus. Des propos jugés «très graves de nature à souiller la Cellule nationale de traitement des informations financières». C’est pour quoi, cette institution a sommé le leader du Front des alliances patriotiques (FAP) «à étayer ses assertions qui, si elles sont avérées, recevront la sanction telle que prévue par le règlement intérieur et le code de bonne conduite sans préjudice des sanctions pénales qui leur seraient attachées, sauf à être traduit devant le juge pénal pour répondre de ses agissements».
Pour rappel, le leader du FAP avait traité les responsables de la CENTIF de corrompus au cours d’une conférence de presse qu’il a organisé ce vendredi dernier, au lendemain d’une ordonnance prononçant un non lieu dans une affaire de blanchiment d’argent.
Pour rappel, le leader du FAP avait traité les responsables de la CENTIF de corrompus au cours d’une conférence de presse qu’il a organisé ce vendredi dernier, au lendemain d’une ordonnance prononçant un non lieu dans une affaire de blanchiment d’argent.