Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, les responsables de cette organisation patronale ont exprimé leur « vive préoccupation suite au décret du président de la République portant report de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024, et à l’adoption par l’Assemblée nationale de la loi fixant la tenue de ladite élection au 15 décembre 2024 ».
Cette décision, disent-ils, « ternit l’image de notre pays et participe également à fragiliser la paix sociale déjà si fortement éprouvée par les évènements de 2021 et 2023. Ainsi, ils condamnent cette situation regrettable et invite solennellement le président de la République, garant de la Constitution à prendre de toute urgence les dispositions utiles et nécessaires pour le respect du calendrier électoral et de la Constitution ».
Pour la CNES « au-delà des perturbations constatées et qui pourraient s’aggraver dans tous les segments de notre économie et de notre système éducatif, la perception positive du Sénégal auprès des investisseurs locaux et étrangers sera grandement affectée au regard du risque pays élevé que cette situation va engendrer ».
Cette décision, disent-ils, « ternit l’image de notre pays et participe également à fragiliser la paix sociale déjà si fortement éprouvée par les évènements de 2021 et 2023. Ainsi, ils condamnent cette situation regrettable et invite solennellement le président de la République, garant de la Constitution à prendre de toute urgence les dispositions utiles et nécessaires pour le respect du calendrier électoral et de la Constitution ».
Pour la CNES « au-delà des perturbations constatées et qui pourraient s’aggraver dans tous les segments de notre économie et de notre système éducatif, la perception positive du Sénégal auprès des investisseurs locaux et étrangers sera grandement affectée au regard du risque pays élevé que cette situation va engendrer ».