Pour le directeur général de la CSS, «il faut dans un premier temps faire le bilan de 20 ans d’activité. C’est d’abord la modification des politiques en matière de prévention de risques professionnels, la modification des environnements de haut risque, ainsi que la nature de prise en charge des risques au niveau de l’entreprise».
A en croire Assane Soumaré, «la politique de la prévention des risques ne saurait être soustrait de la politique sociale de façon générale des entreprises». Mieux, «la topologie de ces entreprises impactent sur le profil des risques, qui impactent sur le profil de la nature des facteurs de provenance de ces risques mais également sur la manière de gérer et de prise en charge de ces risques», marque ce dernier.
D’après toujours le Dg de la CSS, «au-delà des chiffres, le plus important, c’est la capacité d’insérer la culture des préventions parce que c’est cela qui nous permettra de façon permanente mais aussi de façon préventive de lutter contre les accidents de travail».
«Les chiffres des accidentés de travail ont baissé en 2015, avec 1.736 cas d’accidents et de maladies professionnelles enregistrés auprès des services techniques de la CSS, contre 2.219 cas en 2014», explique la Directrice des risques professionnels de la CSS. Au cours de cette journée de lancement de l’édition 2016 du mois africain de la prévention (Map), Marie Diallo indique «ce chiffre peut être considérablement revu à la baisse avec une bonne mutualisation des efforts en matière de prévention des risques professionnels, à tous les niveaux de l’architecture institutionnelle nationale».
A en croire Assane Soumaré, «la politique de la prévention des risques ne saurait être soustrait de la politique sociale de façon générale des entreprises». Mieux, «la topologie de ces entreprises impactent sur le profil des risques, qui impactent sur le profil de la nature des facteurs de provenance de ces risques mais également sur la manière de gérer et de prise en charge de ces risques», marque ce dernier.
D’après toujours le Dg de la CSS, «au-delà des chiffres, le plus important, c’est la capacité d’insérer la culture des préventions parce que c’est cela qui nous permettra de façon permanente mais aussi de façon préventive de lutter contre les accidents de travail».
«Les chiffres des accidentés de travail ont baissé en 2015, avec 1.736 cas d’accidents et de maladies professionnelles enregistrés auprès des services techniques de la CSS, contre 2.219 cas en 2014», explique la Directrice des risques professionnels de la CSS. Au cours de cette journée de lancement de l’édition 2016 du mois africain de la prévention (Map), Marie Diallo indique «ce chiffre peut être considérablement revu à la baisse avec une bonne mutualisation des efforts en matière de prévention des risques professionnels, à tous les niveaux de l’architecture institutionnelle nationale».