La Commission Nationale Sénégalaise (CNS) pour l’UNESCO et l’ISESCO a tenu un Atelier de deux (2) jours à partir de ce mardi 25 mars au mercredi 26 mars 2014 à l’Ecole Nationale de Formation en Economie Familiale et Sociale (ENFEFS). Organisé pour le renforcement des capacités des journalistes de la presse écrite, des radios communautaires et des médias en ligne, les thèmes développés autour de cet atelier, ont porté sur : La techniques de recherche et d’exploitation des informations à travers diverses sources documentaires (collecte, traitement et diffusion de l’information), animé par Mme Diabou BESSANE, Journaliste, Productrice.
Mme Bessane a fait un plan de son exposé, elle a dans un premier temps. Elle a d’abord donné une définition par rapport a la recherche documentaire, voire les sources et les personnes ressources qu’il faut contacter, voir quelle sont les outils de recherche et la méthodologie, avant de faire l’étude sur l’éthique et la déontologie du sens des responsabilités dans la recherche, avant de passer à la diffusion, la restitution des éléments collectés. Selon Mme Bessane, dans le jargon journalistique il s’agit de mener une investigation c'est-à-dire qui, quoi, quand, et pourquoi. Elle a note qu’il ya des similitudes dans le fond et la forme.
« A travers la diffusion des bonnes idées et bonnes pratiques qui contribuent à l’élévation culturelle et intellectuelle de la communauté, les étapes de la recherche documentaire sont tout d’abord la recherche du sujet ». Mme Bessane a fait savoir de manière claire ce que l’on cherche. Avoir une définition des mots clés. En suite on passe à la sélection des documents : les traiter les recouper, vérifier la véracité de l’information recueilli avant de passer à la synthèse. Puis restituer ces informations avant de faire la diffusion.
Les sources : les expert pour le cas du Sénégal une bonne recherche commence à travers des archives documentaires comme la Bibliothèque de l’IFAN, les archive de la presse en général, l’ensemble des ouvrages publié en ensemble avec le sujet, de livre de thèse de mémoire d’étude ou encore de communication scientifique, l’internet. Quand aux personnes ressources il s’agit pour elle, des personnes identifiés qui sont en rapport avec le sujet. Elle a parlé de la collecte de l’information, avec des entretiens, ou des enquêtes. Elle a aussi expliqué qu’il faut, « vérifier toujours l’ensemble des témoignages recueil, et éviter de faire des jugements de valeurs ».
Et un deuxième thème sur l'utilisation des technologies de l’information et de la communication par les médias (nouveaux médias, réseaux et médias sociaux), présenté par M. Ousseynou DIENG, Expert Consultant auprès de l’UAR (Union Africaine de Radiodiffusion).
Mme Bessane a fait un plan de son exposé, elle a dans un premier temps. Elle a d’abord donné une définition par rapport a la recherche documentaire, voire les sources et les personnes ressources qu’il faut contacter, voir quelle sont les outils de recherche et la méthodologie, avant de faire l’étude sur l’éthique et la déontologie du sens des responsabilités dans la recherche, avant de passer à la diffusion, la restitution des éléments collectés. Selon Mme Bessane, dans le jargon journalistique il s’agit de mener une investigation c'est-à-dire qui, quoi, quand, et pourquoi. Elle a note qu’il ya des similitudes dans le fond et la forme.
« A travers la diffusion des bonnes idées et bonnes pratiques qui contribuent à l’élévation culturelle et intellectuelle de la communauté, les étapes de la recherche documentaire sont tout d’abord la recherche du sujet ». Mme Bessane a fait savoir de manière claire ce que l’on cherche. Avoir une définition des mots clés. En suite on passe à la sélection des documents : les traiter les recouper, vérifier la véracité de l’information recueilli avant de passer à la synthèse. Puis restituer ces informations avant de faire la diffusion.
Les sources : les expert pour le cas du Sénégal une bonne recherche commence à travers des archives documentaires comme la Bibliothèque de l’IFAN, les archive de la presse en général, l’ensemble des ouvrages publié en ensemble avec le sujet, de livre de thèse de mémoire d’étude ou encore de communication scientifique, l’internet. Quand aux personnes ressources il s’agit pour elle, des personnes identifiés qui sont en rapport avec le sujet. Elle a parlé de la collecte de l’information, avec des entretiens, ou des enquêtes. Elle a aussi expliqué qu’il faut, « vérifier toujours l’ensemble des témoignages recueil, et éviter de faire des jugements de valeurs ».
Et un deuxième thème sur l'utilisation des technologies de l’information et de la communication par les médias (nouveaux médias, réseaux et médias sociaux), présenté par M. Ousseynou DIENG, Expert Consultant auprès de l’UAR (Union Africaine de Radiodiffusion).
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La commission poursuit ses travaux ce mercredi 26 mars 2014, sur le thème : la promotion des valeurs de l’Islam et la diffusion de la culture et de la Civilisation musulmane dans les médias avec le journaliste enseignant, M. Cheikh Tidiane Kouta. Au cours de son exposé, M. Kouta a fait part de l’importance de la presse et des médiats entant que miroir qui reflet la réalité sociologique, culturelle, économique et politique. Il a décliné des objectifs à partir d’un type de société à savoir : la responsabilité du journaliste face au défit et la cohésion sociale. A savoir l’universalité de l’appel islamique, une approche méthodologique de cet appel avant de revenir sur les accusations faites sur les musulmans. M. Kouta a évoqué la question de la déontologie, qui doit guider les médias. A partir des « hadis », et des versés de Coran, il s’est évertué à mettre en exergue, la promotion des valeurs de l’islam et la culture. « L’islam, au-delà de sa nature en tant que religion révélée, qui doit réguler nos valeurs est une philosophie… », déclare t-il. Pour Cheikh Tidiane Kounta, le journaliste doit avoir tout un ensemble de comportements, d’attitudes, basés sur l’éthique, la responsabilité, la conviction. La presse écrite et les médias doivent avoir ces comportements, s’imprégner de l’ensemble de ses valeurs, leur permettant de produire des articles objectifs et pertinents.
Par ailleurs, le Chef de la Division Communication à la Commission Nationale Sénégalaise pour l’UNESCO et l’ISESCO, Maki Diallo, parlant de l’objectif de cet atelier, a souligné leur engagement pour accompagner les journalistes à atteindre leurs objectifs. « … Nous sommes ouvert à des partenariats pour que les journalistes, par leurs programmes d’activités, nous verrons à travers des plans d’actions de l’UNESCO et l’ISESCO comment les aider à atteindre leurs objectifs ». L’atelier a pris fin par la lecture et adoption du rapport final et des recommandations avant de passer à table pour un déjeuné.
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