La Compagnie Sucrière Sénégalaise (CSS) annonce une production de 138 800 tonnes de sucre pour cette nouvelle campagne agricole de l’année 2024. Mais « l'objectif pourrait même atteindre les 140 000 tonnes cette année » à en croire son Directeur Général, Guillaume Ranson, qui assistait au lancement de cette campagne, en marge d’une randonnée pédestre organisée par l’Amicale des cadres de la CSS.
Selon APS, « la CSS, dans son ambition de renforcer la production nationale, s'est fixée un objectif de 220 000 tonnes de sucre d'ici 2030, appuyé par un programme d'investissement conséquent. » Pour y parvenir, Guillaume Ranson a souligné l'importance d'un soutien accru de l'État, en appelant le gouvernement à prioriser la production locale face aux importations.
« Nous avons besoin de l'accompagnement de l'État pour limiter les importations et donner priorité à la production nationale, » a-t-il plaidé, ajoutant que ce soutien est crucial pour permettre à la CSS d'étendre ses surfaces agricoles et de consolider sa croissance.
En réponse aux défis posés par le changement climatique, la CSS prévoit également des initiatives telles que « la maturation artificielle de la canne et la recherche variétale », pour optimiser sa production et assurer la résilience de ses cultures, rapporte le journal.
Selon APS, « la CSS, dans son ambition de renforcer la production nationale, s'est fixée un objectif de 220 000 tonnes de sucre d'ici 2030, appuyé par un programme d'investissement conséquent. » Pour y parvenir, Guillaume Ranson a souligné l'importance d'un soutien accru de l'État, en appelant le gouvernement à prioriser la production locale face aux importations.
« Nous avons besoin de l'accompagnement de l'État pour limiter les importations et donner priorité à la production nationale, » a-t-il plaidé, ajoutant que ce soutien est crucial pour permettre à la CSS d'étendre ses surfaces agricoles et de consolider sa croissance.
En réponse aux défis posés par le changement climatique, la CSS prévoit également des initiatives telles que « la maturation artificielle de la canne et la recherche variétale », pour optimiser sa production et assurer la résilience de ses cultures, rapporte le journal.