Au lieu d'un milliard 23 millions de personnes sous-alimentées, l'an dernier, il n'y en n'a plus que 925 millions en 2010. Un recul tout relatif puisque ce niveau est encore supérieur à celui qui prévalait avant la crise alimentaire de 2007-2008.
Si les prix des céréales avaient baissé, lorsque cette étude a été faite, ils restent cependant encore relativement élevés. La production céréalière, note la FAO, reste à des niveaux très élevés. Le problème, ce n'est donc pas tant la production que la distribution de la nourriture, l'accès des plus pauvres aux denrées de base.
Dans ce contexte, le continent africain est l'un des plus frappés par la malnutrition. 239 millions d'habitants de l'Afrique sub-saharienne ne mangent pas à leur faim. C'est près du tiers des habitants de la région. Ceux-ci ont été en particulier recensés en République Démocratique du Congo et en Ethiopie.
Et l'Afrique n'arrive pas à résorber son contingent d'affamés, au contraire de l'Asie où il y a selon la FAO, 12% de personnes dénutries en moins. Tout cela bien sûr avant la toute récente flambée du cours des matières premières agricoles.
Si les gouvernements et les organisations internationales ne redoublent pas d'effort, l'année 2011 pourrait voir la barre du milliard d'affamés de nouveau atteinte.
Si les prix des céréales avaient baissé, lorsque cette étude a été faite, ils restent cependant encore relativement élevés. La production céréalière, note la FAO, reste à des niveaux très élevés. Le problème, ce n'est donc pas tant la production que la distribution de la nourriture, l'accès des plus pauvres aux denrées de base.
Dans ce contexte, le continent africain est l'un des plus frappés par la malnutrition. 239 millions d'habitants de l'Afrique sub-saharienne ne mangent pas à leur faim. C'est près du tiers des habitants de la région. Ceux-ci ont été en particulier recensés en République Démocratique du Congo et en Ethiopie.
Et l'Afrique n'arrive pas à résorber son contingent d'affamés, au contraire de l'Asie où il y a selon la FAO, 12% de personnes dénutries en moins. Tout cela bien sûr avant la toute récente flambée du cours des matières premières agricoles.
Si les gouvernements et les organisations internationales ne redoublent pas d'effort, l'année 2011 pourrait voir la barre du milliard d'affamés de nouveau atteinte.