Les responsables de l’assassinat d’un journaliste en Côte d’Ivoire doivent être recherchés, arrêtés et traduits devant la justice, a déclaré aujourd’hui, la Fédération Internationale des Journalistes (FIJ).
Selon des sources indépendantes et de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), un affilié de la FIJ, le journaliste Désiré Doué a été assassiné dans sa maison du quartier Cocody-Angré d’Abidjan, la capitale économique de la Côte d’Ivoire, le vendredi 15 novembre dernier par des hommes armés non identifiés.
« Nous condamnons avec la dernière énergie ce lâche assassinat qui ne doit pas rester impuni », a déclaré Gabriel Baglo, directeur du Bureau Afrique de la FIJ. « Les autorités ont l’obligation de mener une enquête sérieuse en vue d’arrêter les auteurs et de les traduire devant la justice », a-t-il déclaré.
Rédacteur en chef de la revue "Tomorrow Magazine", Désiré Oué, 40 ans, a commencé sa carrière de journaliste dans le service public de l’information. Il est connu pour son activisme au sein du Front Populaire Ivoirien (FPI, ancien parti au pouvoir) et sa proximité avec l’ancien président Laurent Gbagbo, au pouvoir de 2000 à 2010.
« Les journalistes sont d’abord des citoyens. On peut être partisan et honnête en observant les règles déontologiques qui imposent le respect des autres opinions et convictions. La justice ivoirienne est face au défi de nous démontrer que les raisons de l’assassinat de Désiré Oué ne sont pas liées à son appartenance politique », a commenté Baglo.
La FIJ appelle les journalistes de Côte d’Ivoire à davantage renforcer leurs rangs et leurs capacités en vue de jouer un rôle crucial dans la promotion et la protection de la liberté d’expression, des droits des travailleurs des médias, et des organisations professionnelles.
Selon des sources indépendantes et de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), un affilié de la FIJ, le journaliste Désiré Doué a été assassiné dans sa maison du quartier Cocody-Angré d’Abidjan, la capitale économique de la Côte d’Ivoire, le vendredi 15 novembre dernier par des hommes armés non identifiés.
« Nous condamnons avec la dernière énergie ce lâche assassinat qui ne doit pas rester impuni », a déclaré Gabriel Baglo, directeur du Bureau Afrique de la FIJ. « Les autorités ont l’obligation de mener une enquête sérieuse en vue d’arrêter les auteurs et de les traduire devant la justice », a-t-il déclaré.
Rédacteur en chef de la revue "Tomorrow Magazine", Désiré Oué, 40 ans, a commencé sa carrière de journaliste dans le service public de l’information. Il est connu pour son activisme au sein du Front Populaire Ivoirien (FPI, ancien parti au pouvoir) et sa proximité avec l’ancien président Laurent Gbagbo, au pouvoir de 2000 à 2010.
« Les journalistes sont d’abord des citoyens. On peut être partisan et honnête en observant les règles déontologiques qui imposent le respect des autres opinions et convictions. La justice ivoirienne est face au défi de nous démontrer que les raisons de l’assassinat de Désiré Oué ne sont pas liées à son appartenance politique », a commenté Baglo.
La FIJ appelle les journalistes de Côte d’Ivoire à davantage renforcer leurs rangs et leurs capacités en vue de jouer un rôle crucial dans la promotion et la protection de la liberté d’expression, des droits des travailleurs des médias, et des organisations professionnelles.
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