Le président français de l'UEFA, Michel Platini, annonce le choix de la France pour l'organisation de l'Euro 2016.( Reuters/Valentin Flauraud)
Michel Platini en est resté bouche bée. Au moment d'annoncer que la France organiserait l'Euro 2016, le président français de l'UEFA a eu bien du mal à prononcer le nom de son pays, lui qui avait soulevé le trophée en tant que capitaine la dernière fois que l'Euro avait été organisé en France, en 1984.
Ce résultat n'est pas une surprise. Depuis quelque temps, on savait que la candidature française était bien placée, avec un dossier sérieux en termes de capacité d'accueil et d'infrastructures, de communication et de transport. Après les incertitudes liées à l'état de préparation du l'Ukraine pour l'édition 2012 coorganisée avec la Pologne, l'UEFA a voulu jouer la sécurité pour le premier Euro à 24 équipes.
Cela a cependant été très serré puisque le dossier français n'a devancé la candidature turque que d'une voix sur les 13 exprimées par les membres du comité exécutif de l'UEFA. C'est que le dossier français avait aussi une faiblesse qui va falloir corriger : la vétusté des stades. Huit sont à rénover et 4 sont à construire entièrement, pour un investissement total prévu d'1 milliard 700 millions d'euros. C'est maintenant beaucoup de travail pour la France qui a 6 ans pour se préparer.
Ce résultat n'est pas une surprise. Depuis quelque temps, on savait que la candidature française était bien placée, avec un dossier sérieux en termes de capacité d'accueil et d'infrastructures, de communication et de transport. Après les incertitudes liées à l'état de préparation du l'Ukraine pour l'édition 2012 coorganisée avec la Pologne, l'UEFA a voulu jouer la sécurité pour le premier Euro à 24 équipes.
Cela a cependant été très serré puisque le dossier français n'a devancé la candidature turque que d'une voix sur les 13 exprimées par les membres du comité exécutif de l'UEFA. C'est que le dossier français avait aussi une faiblesse qui va falloir corriger : la vétusté des stades. Huit sont à rénover et 4 sont à construire entièrement, pour un investissement total prévu d'1 milliard 700 millions d'euros. C'est maintenant beaucoup de travail pour la France qui a 6 ans pour se préparer.