Une page d'histoire s'est déjà tournée au camp de Gaulle à Libreville, et se tournera bientôt sur la base de Ouakam à Dakar et sur celle de Port-Bouet à Abidjan : ces camps ne seront plus stricto sensu des bases militaires françaises. L'armée française réduit son empreinte permanente et baisse le drapeau sur ses emprises historiques.
Fin annoncée également des éléments français déployés au Sénégal, en Côte d'Ivoire et au Gabon. Fin aussi des bases permanentes telles qu'elles existaient jusqu'alors. À la faveur de l'été, un grand nombre de familles de militaires a déjà rejoint la France, pointe un haut gradé. Des détachements temporaires La nouvelle philosophie repose sur des emprises d'abord partagées, puis qui seront entièrement placées sous l'autorité des pays hôtes. Il n'y aura donc plus ni grosse base, ni contingent, mais des détachements de liaison interarmées (DLIA), soit des noyaux clés d'une grosse centaine de militaires qui auront pour mission d'accueillir des détachements temporaires dont la taille fluctuera au gré des exercices, des formations et des opérations.
Fin annoncée également des éléments français déployés au Sénégal, en Côte d'Ivoire et au Gabon. Fin aussi des bases permanentes telles qu'elles existaient jusqu'alors. À la faveur de l'été, un grand nombre de familles de militaires a déjà rejoint la France, pointe un haut gradé. Des détachements temporaires La nouvelle philosophie repose sur des emprises d'abord partagées, puis qui seront entièrement placées sous l'autorité des pays hôtes. Il n'y aura donc plus ni grosse base, ni contingent, mais des détachements de liaison interarmées (DLIA), soit des noyaux clés d'une grosse centaine de militaires qui auront pour mission d'accueillir des détachements temporaires dont la taille fluctuera au gré des exercices, des formations et des opérations.