L’Ambassadeur de France au Sénégal a fait cette annonce, en marge de la célébration de la Fête nationale du 14 juillet. D’une durée de cinq (5) ans, il s’agit de permettre, tous les six mois, à leurs détenteurs de bénéficier d’un droit de séjour de trois (3) mois dans le pays.
« Les relations entre le Sénégal et la France s’appuient sur l’histoire et veulent se porter vers l’avenir avec un certain nombre de priorités », a relevé le diplomate français en précisant que l’une de ces priorités est de faciliter la circulation des Sénégalais en France et de faire en sorte qu’ils puissent plus facilement se rendre dans ce pays ami.
« Donc, nous allons favoriser les visas dits +de circulation+ d’une [durée] de 5 ans, c’est-à-dire la durée du passeport et qui permet au détenteur, tous les six mois, de séjourner trois (3) mois en France », a-t-il expliqué.
Une mesure qui répond, selon toujours l’Ambassadeur de France au Sénégal, aux aspirations de tous ceux qui font des allers retours vers la France. « Nous ne voulons pas favoriser l’immigration clandestine en France, mais plutôt promouvoir les échanges qui permettront ensuite le développement du Sénégal », a-t-il indiqué. Et d’ajouter que « les autorités consulaires françaises feront également en sorte que plus d’étudiants sénégalais puissent se rendre en France ».
Avec APS
« Les relations entre le Sénégal et la France s’appuient sur l’histoire et veulent se porter vers l’avenir avec un certain nombre de priorités », a relevé le diplomate français en précisant que l’une de ces priorités est de faciliter la circulation des Sénégalais en France et de faire en sorte qu’ils puissent plus facilement se rendre dans ce pays ami.
« Donc, nous allons favoriser les visas dits +de circulation+ d’une [durée] de 5 ans, c’est-à-dire la durée du passeport et qui permet au détenteur, tous les six mois, de séjourner trois (3) mois en France », a-t-il expliqué.
Une mesure qui répond, selon toujours l’Ambassadeur de France au Sénégal, aux aspirations de tous ceux qui font des allers retours vers la France. « Nous ne voulons pas favoriser l’immigration clandestine en France, mais plutôt promouvoir les échanges qui permettront ensuite le développement du Sénégal », a-t-il indiqué. Et d’ajouter que « les autorités consulaires françaises feront également en sorte que plus d’étudiants sénégalais puissent se rendre en France ».
Avec APS