La Libye a annulé tous les mandats d'arrêt et interdictions de voyager décrétés sous le régime Kadhafi contre des opposants dont certains occupent désormais des postes importants au sein du gouvernement, a indiqué mercredi 2 janvier un porte-parole du ministère de l'intérieur.
Une décision prise à la suite des grandes difficultés rencontrées par d’anciens opposants lors de leurs déplacements officiels à l'étranger. Le ministère contrôlera désormais seul les interdictions de voyager. Ainsi, aucun citoyen ne se verra interdire de voyager à moins qu'une décision de justice ou un ordre écrit du ministère de l'intérieur ne fût émis en ce sens.
FICHÉS MALGRÉ L'ASILE POLITIQUE
Un grand nombre d'ex-opposants au régime déchu occupent désormais d'importants postes au sein du gouvernement libyen et de l'Assemblée nationale élue en juillet, moins d'un an après qu'un soulèvement soutenu par l'OTAN a chassé du pouvoir l'ancien homme fort libyen. Nombre d'entre eux ont été confrontés à des tracasseries lors de leurs déplacements dans d'autres pays de la région, notamment ceux ayant signé des accords sécuritaires avec la Libye, car ils étaient toujours fichés en dépit du changement de régime et du fait qu'ils avaient obtenu l'asile politique dans un pays tiers ou une nouvelle nationalité.
Une décision prise à la suite des grandes difficultés rencontrées par d’anciens opposants lors de leurs déplacements officiels à l'étranger. Le ministère contrôlera désormais seul les interdictions de voyager. Ainsi, aucun citoyen ne se verra interdire de voyager à moins qu'une décision de justice ou un ordre écrit du ministère de l'intérieur ne fût émis en ce sens.
FICHÉS MALGRÉ L'ASILE POLITIQUE
Un grand nombre d'ex-opposants au régime déchu occupent désormais d'importants postes au sein du gouvernement libyen et de l'Assemblée nationale élue en juillet, moins d'un an après qu'un soulèvement soutenu par l'OTAN a chassé du pouvoir l'ancien homme fort libyen. Nombre d'entre eux ont été confrontés à des tracasseries lors de leurs déplacements dans d'autres pays de la région, notamment ceux ayant signé des accords sécuritaires avec la Libye, car ils étaient toujours fichés en dépit du changement de régime et du fait qu'ils avaient obtenu l'asile politique dans un pays tiers ou une nouvelle nationalité.