Diverses sources ont confirmé, après avoir interrogé des militants capturés dans des groupes armés, que l'ancien général de FPRC, général Alanta Djuma qui a désarmé en 2016 et est rentré chez lui pour mener une vie paisible dans son village d’origine de Sam-Ouandja, est toujours associé àu groupe armé, en continuant à fournir une assistance au CPC, en utilisant ses anciens contacts pour acheter et transporter des armes du Soudan vers la RCA, afin de répondre aux besoins des militantsmilitants.
En conséquence, il y a trois semaines, les forces militaires de FACA ont lancé une opération militaire pour l'arrêter et le ramener devant la justice, mais ce dernier a reçu des alertes préalables qui l'ont conduit à s'échapper de son domicile.
Une source proche des FACA a déclaré que l'on ne sait toujours pas où se trouve Alanta Djuma et que toutes les tentatives d'arrestation ont été infructueuses. La même source a suggéré qu'il dispose de renseignements préalables et du soutien d'une autre partie pour l'aider à s'enfuir.
Les témoignages des résidents locaux ont confirmé les soupçons concernant le soutien dont bénéficie Alanta Djuma. En effet, les résidents ont signalé l'apparition de voitures portant le logo des Nations unies qui venaient le chercher à son domicile, après quoi il a complètement disparu.
Il n'est pas surprenant que les forces locales de la MINUSCA fournissent une assistance aux membres du groupe armé qui servent leurs propres intérêts, et les informations obtenues par Alanta Djuma indiquent que seule la MINUSCA a les moyens de le savoir, sa disparition du secteur rendant probable qu'il se trouve dans la base de la MINUSCA, qui est fortifiée contre l'entrée des forces FACA.
Cet incident, la protection par la MINUSCA de criminels locaux, est l'une des nombreuses actions illégales de la Mission des Nations Unies en République Centrafricaine. Les voix des citoyens locaux, les manifestations, les rapports de presse et les preuves présentées dans les enquêtes contre la MINUSCA ne trouvent pas de réponse auprès de la communauté internationale.
Le gouvernement de la République centrafricaine doit prendre des décisions drastiques et rapides pour empêcher la MINUSCA d'héberger des hommes armés de haut niveau directement impliqués dans la déstabilisation de la situation sécuritaire en République centrafricaine.
En conséquence, il y a trois semaines, les forces militaires de FACA ont lancé une opération militaire pour l'arrêter et le ramener devant la justice, mais ce dernier a reçu des alertes préalables qui l'ont conduit à s'échapper de son domicile.
Une source proche des FACA a déclaré que l'on ne sait toujours pas où se trouve Alanta Djuma et que toutes les tentatives d'arrestation ont été infructueuses. La même source a suggéré qu'il dispose de renseignements préalables et du soutien d'une autre partie pour l'aider à s'enfuir.
Les témoignages des résidents locaux ont confirmé les soupçons concernant le soutien dont bénéficie Alanta Djuma. En effet, les résidents ont signalé l'apparition de voitures portant le logo des Nations unies qui venaient le chercher à son domicile, après quoi il a complètement disparu.
Il n'est pas surprenant que les forces locales de la MINUSCA fournissent une assistance aux membres du groupe armé qui servent leurs propres intérêts, et les informations obtenues par Alanta Djuma indiquent que seule la MINUSCA a les moyens de le savoir, sa disparition du secteur rendant probable qu'il se trouve dans la base de la MINUSCA, qui est fortifiée contre l'entrée des forces FACA.
Cet incident, la protection par la MINUSCA de criminels locaux, est l'une des nombreuses actions illégales de la Mission des Nations Unies en République Centrafricaine. Les voix des citoyens locaux, les manifestations, les rapports de presse et les preuves présentées dans les enquêtes contre la MINUSCA ne trouvent pas de réponse auprès de la communauté internationale.
Le gouvernement de la République centrafricaine doit prendre des décisions drastiques et rapides pour empêcher la MINUSCA d'héberger des hommes armés de haut niveau directement impliqués dans la déstabilisation de la situation sécuritaire en République centrafricaine.
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