Le président de la Rencontre africaine des droits de l'Homme ( RADDHO) a exigé la libération des manifestants arrêtés et accusés de fomenter un coup d’Etat contre le pouvoir libéral. «Nous demandons la libération des gens qui sont, arbitrairement, détenus dans les prisons», a lancé Alioune Tine qui «condamne très fermement ces propos du ministre de la Justice qui sont des propos de nature à mettre de l’huile sur le feu».
Selon lui, le Pouvoir doit laisser les gens manifester et exercer librement les libertés qui leur sont reconnues par la Constitution.
«Ce sont des accusations qui ne reposent absolument sur rien et nous demandons leur libération immédiate et sans condition», a martelé le patron de la RADDHO. Il a expliqué que c’est partir de tels comportements «qu’on va brûler le pays».
«C’est par des actes arbitraires, c’est par la répression, c’est par les menaces, c’est par la peur (…) qu’on arrive à ces scénarii», a détaillé Alioune Tine.
Il préconise que «si nous voulons voir la paix régner au Sénégal, tout le monde doit respecter les textes et la Constitution».
Selon lui, le Pouvoir doit laisser les gens manifester et exercer librement les libertés qui leur sont reconnues par la Constitution.
«Ce sont des accusations qui ne reposent absolument sur rien et nous demandons leur libération immédiate et sans condition», a martelé le patron de la RADDHO. Il a expliqué que c’est partir de tels comportements «qu’on va brûler le pays».
«C’est par des actes arbitraires, c’est par la répression, c’est par les menaces, c’est par la peur (…) qu’on arrive à ces scénarii», a détaillé Alioune Tine.
Il préconise que «si nous voulons voir la paix régner au Sénégal, tout le monde doit respecter les textes et la Constitution».