La Corporation PROCASUR, sous le financement du FIDA et en collaboration avec l’Initiative Prospective Agricole et Rurale (IPAR), se sont penchés sur la question de sécurité foncière et le droit de l'eau dans les ouvrages d’irrigation grâce à des outils innovants et des solutions concrètes dans les zones du Sénégal et de la Mauritanie ».
Selon Ibrahima Arona Diallo, expert foncier par ailleurs coordonnateur technique de la route IPAR, «c’est une première expérience en Afrique de l’Ouest qui consiste à identifier les bonnes pratiques en matière foncière et hydraulique. La problématique de l’eau et du foncier était jusque là, étudiée séparément. Cette "Route" a identifié des expériences intéressantes à partir du Sénégal avec le cas de Diama, d’occupation et d’exploitation des sols. Au niveau de Maghama en Mauritanie avec une entente foncière entre les populations locales et l’Etat Mauritanien. Et ensuite, nous avons l’expérience du programme dans la vallée du fleuve Sénégal notamment dans la zone de Matam. Expérience intéressante dans la lutte contre la pauvreté».
Pour lui, «il s’agit de partager les expériences, partager les meilleurs pratiques, des modèles réplicables qui permettent au projet de renforcer et d’orienter leurs actions dans le cadre de renforcement de meilleure efficacité en matière de gestion terres, hydraulique. Mais en particulier par rapport au contexte de lutte contre la pauvreté».
Elle sera axée principalement sur des mécanismes innovants de «régularisation des terres afin de permettre aux groupes les plus vulnérables d’accéder à la terre et gestion du domaine irrigué de la part des communautés rurales favorisant leur développement économique à travers l’articulation du foncier au développement local».
Cette route qui partira du Sénégal pour aller vers la Mauritanie du 6 au 16 mars, inclura les expériences du Programme d’Appui aux Communautés Rurales de la Vallée du Fleuve Sénégal (PACR)- Sénégal, le Projet d’Amélioration des Cultures de Décrue à Maghama (PACDM)- Mauritanie et le Projet de Développement Agricole de Matam- Consolidation de la Sécurité Alimentaire (PRODAM-CSA)- Sénégal; ainsi que des cas complémentaires issus d’expériences développées par des organisations nationales et/ou internationales tel le PASKII. Elle sera précédée cependant par un panel d’experts qui permettra de camper le débat et de contextualiser les problématiques visées.
Selon Ibrahima Arona Diallo, expert foncier par ailleurs coordonnateur technique de la route IPAR, «c’est une première expérience en Afrique de l’Ouest qui consiste à identifier les bonnes pratiques en matière foncière et hydraulique. La problématique de l’eau et du foncier était jusque là, étudiée séparément. Cette "Route" a identifié des expériences intéressantes à partir du Sénégal avec le cas de Diama, d’occupation et d’exploitation des sols. Au niveau de Maghama en Mauritanie avec une entente foncière entre les populations locales et l’Etat Mauritanien. Et ensuite, nous avons l’expérience du programme dans la vallée du fleuve Sénégal notamment dans la zone de Matam. Expérience intéressante dans la lutte contre la pauvreté».
Pour lui, «il s’agit de partager les expériences, partager les meilleurs pratiques, des modèles réplicables qui permettent au projet de renforcer et d’orienter leurs actions dans le cadre de renforcement de meilleure efficacité en matière de gestion terres, hydraulique. Mais en particulier par rapport au contexte de lutte contre la pauvreté».
Elle sera axée principalement sur des mécanismes innovants de «régularisation des terres afin de permettre aux groupes les plus vulnérables d’accéder à la terre et gestion du domaine irrigué de la part des communautés rurales favorisant leur développement économique à travers l’articulation du foncier au développement local».
Cette route qui partira du Sénégal pour aller vers la Mauritanie du 6 au 16 mars, inclura les expériences du Programme d’Appui aux Communautés Rurales de la Vallée du Fleuve Sénégal (PACR)- Sénégal, le Projet d’Amélioration des Cultures de Décrue à Maghama (PACDM)- Mauritanie et le Projet de Développement Agricole de Matam- Consolidation de la Sécurité Alimentaire (PRODAM-CSA)- Sénégal; ainsi que des cas complémentaires issus d’expériences développées par des organisations nationales et/ou internationales tel le PASKII. Elle sera précédée cependant par un panel d’experts qui permettra de camper le débat et de contextualiser les problématiques visées.