De nouvelles dispositions ont été prises par la Sénélec et le ministère de l’énergie afin que le problème lié au fuel ne se répète plus. « Des actions de sécurisation du combustible sont entreprises » a annoncé Seydina Kâne, directeur général de la Sénélec lors d’un point de presse tenu au building administratif hier.
Sur la palette de mesures figure le changement de certains partenaires de la Sénélec. Parmi ceux-ci Oryx. La Sénélec avait indexé cette société comme étant la cause du mal. Ainsi, Oryx saute et laisse la place à Sen Stock. Avec une capacité de stockage de 167m3, Sen Stock serait, dit on, le plus grand réservoir de stockage en Afrique de l’Ouest. Désormais, « tous les produits de la Sénélec déchargée à la Sar vont être stocké ici » a dit Samuel Sarr lors de la visite, qui a suivi le point de presse, dans cette centrale située à Mbao. Ainsi, « « la Sénélec ne travaillera plus avec Oryx » a assuré Samuel Ameth Sarr. Aussi tous les réservoirs de stockage sont fermés.
Dans ce nouveau réseau de partenaires aussi la société africaine de raffinage (Sar) se repositionne. C’est à elle que revient maintenant la gestion et l’exploitation des stocks de combustibles de la Sénélec. Donc, elle se chargera aussi de l’importation de combustibles ne pouvant elle-même produire que 800 tonnes alors que la Sénélec a besoin de 1500 tonnes. La Sar aura aussi à homologuer tous les camions transportant des combustibles pour la Sénélec.
Par ailleurs, des laboratoires vont être ouverts dans les différentes centrales de la Sénélec. Tous les combustibles seront examinés et testés avant utilisation.
Un nouveau décret verra aussi le jour, a-t-on annoncé. Un décret fait en 2003 existe déjà portant sur l’importation de fuel. Et le Dg de la Sénélec Seydina Kâne affirme que « le combustible utilisé et qui a causé les dégâts répondaient aux normes du décret en place ». Mais ce décret doit être revu et amélioré. Selon le ministre de l’énergie « un nouveau décret sera bientôt fait ».
Sur la palette de mesures figure le changement de certains partenaires de la Sénélec. Parmi ceux-ci Oryx. La Sénélec avait indexé cette société comme étant la cause du mal. Ainsi, Oryx saute et laisse la place à Sen Stock. Avec une capacité de stockage de 167m3, Sen Stock serait, dit on, le plus grand réservoir de stockage en Afrique de l’Ouest. Désormais, « tous les produits de la Sénélec déchargée à la Sar vont être stocké ici » a dit Samuel Sarr lors de la visite, qui a suivi le point de presse, dans cette centrale située à Mbao. Ainsi, « « la Sénélec ne travaillera plus avec Oryx » a assuré Samuel Ameth Sarr. Aussi tous les réservoirs de stockage sont fermés.
Dans ce nouveau réseau de partenaires aussi la société africaine de raffinage (Sar) se repositionne. C’est à elle que revient maintenant la gestion et l’exploitation des stocks de combustibles de la Sénélec. Donc, elle se chargera aussi de l’importation de combustibles ne pouvant elle-même produire que 800 tonnes alors que la Sénélec a besoin de 1500 tonnes. La Sar aura aussi à homologuer tous les camions transportant des combustibles pour la Sénélec.
Par ailleurs, des laboratoires vont être ouverts dans les différentes centrales de la Sénélec. Tous les combustibles seront examinés et testés avant utilisation.
Un nouveau décret verra aussi le jour, a-t-on annoncé. Un décret fait en 2003 existe déjà portant sur l’importation de fuel. Et le Dg de la Sénélec Seydina Kâne affirme que « le combustible utilisé et qui a causé les dégâts répondaient aux normes du décret en place ». Mais ce décret doit être revu et amélioré. Selon le ministre de l’énergie « un nouveau décret sera bientôt fait ».