Le coup de gueule du président Macky Sall à l'endroit des responsables de son parti n'a pas suffi à calmer les susceptibilités des cadres de l'APR. Cette fois, ce sont les responsables de Diourbel qui se regardent en chiens de faïence. Ils en sont même venus aux mains samedi dernier.
Des vitres cachées, portes enfoncées, injures et autres empoignades : c'est le triste spectacle offert par les « apéristes » à l'issue des tendances entre Dame Diop, Directeur général de Dakar Dem Dikk (DDD)et Moustapha Guèye Dg de l'Agence pour l'Economie et la maîtrise de l'Energie. L'occupation du nouveau siège du parti au pouvoir a été à l'origine de la pomme de discorde. Cela a conduit, relaie le journal "l'as", les militants de l'APR du Baol à utiliser les biceps pour régler les comptes. Les partisans de Dame Diop dénoncent « les comportements irresponsables des amis de Moustapha Gueye ». Ces derniers, seraient venus pénétrer de forces dans le nouveau siège « alors qu'aucune autorisation ne leur avait été donnée », disent les partisans du Directeur général de DDD.
Ces allégations sont balayées d'un revers de la main par l'autre partie qui soutient qu'on voulait lui refuser tout accès au siège. Seulement, il faut reconnaître que l'usage de la violence est devenu monnaie courant au sein de l'APR. Pire encore, les mises en garde du président de la République Macky Sall n'y ont rien fait.
Des vitres cachées, portes enfoncées, injures et autres empoignades : c'est le triste spectacle offert par les « apéristes » à l'issue des tendances entre Dame Diop, Directeur général de Dakar Dem Dikk (DDD)et Moustapha Guèye Dg de l'Agence pour l'Economie et la maîtrise de l'Energie. L'occupation du nouveau siège du parti au pouvoir a été à l'origine de la pomme de discorde. Cela a conduit, relaie le journal "l'as", les militants de l'APR du Baol à utiliser les biceps pour régler les comptes. Les partisans de Dame Diop dénoncent « les comportements irresponsables des amis de Moustapha Gueye ». Ces derniers, seraient venus pénétrer de forces dans le nouveau siège « alors qu'aucune autorisation ne leur avait été donnée », disent les partisans du Directeur général de DDD.
Ces allégations sont balayées d'un revers de la main par l'autre partie qui soutient qu'on voulait lui refuser tout accès au siège. Seulement, il faut reconnaître que l'usage de la violence est devenu monnaie courant au sein de l'APR. Pire encore, les mises en garde du président de la République Macky Sall n'y ont rien fait.