La coalition des Confédérations syndicales des travailleurs du Sénégal s’érigent en bouclier pour dénoncer les licenciements abusifs. Ils prévoient une marche dans les jours à venir.
« Passant outre les interdictions, certaines Chefs d’entreprise n’ont pas hésité à se débarrasser d’éléments combatifs. C’est durant la période de mise en œuvre de la loi d’habilitation que le Directeur général de Grand Moulin de Dakar a choisi de licencier cinq (5) travailleurs. La coalition des centrales s’insurge contre les violations de liberté syndicale, notamment à l’hôpital Abass Ndao, à l’Agence de presse sénégalaise, et la suspension du salaire du secrétaire général du Synpics », a déplore Cheikh Diop sur les ondes de Walf Fm.
La coalition des centrales, qui parle de la mauvaise volonté affichée par la direction, exige, selon M. Diop, « la réintégration des travailleurs abusivement licencié au grand moulin de Dakar, ainsi que le rétablissement des camarades dans leur droit au niveau de l’hôpital Abass Ndao . La coalition contre mettre en place, un plan d’actions avec l’organisation d’une marche nationale en guise de riposte contre les multiples agressions, dont sont victimes les travailleurs ».
« Passant outre les interdictions, certaines Chefs d’entreprise n’ont pas hésité à se débarrasser d’éléments combatifs. C’est durant la période de mise en œuvre de la loi d’habilitation que le Directeur général de Grand Moulin de Dakar a choisi de licencier cinq (5) travailleurs. La coalition des centrales s’insurge contre les violations de liberté syndicale, notamment à l’hôpital Abass Ndao, à l’Agence de presse sénégalaise, et la suspension du salaire du secrétaire général du Synpics », a déplore Cheikh Diop sur les ondes de Walf Fm.
La coalition des centrales, qui parle de la mauvaise volonté affichée par la direction, exige, selon M. Diop, « la réintégration des travailleurs abusivement licencié au grand moulin de Dakar, ainsi que le rétablissement des camarades dans leur droit au niveau de l’hôpital Abass Ndao . La coalition contre mettre en place, un plan d’actions avec l’organisation d’une marche nationale en guise de riposte contre les multiples agressions, dont sont victimes les travailleurs ».