Une bonne nouvelle pour la filière madd, qui vient de se voir attribuer un certificat d’enregistrement en indication géographique (IG) par l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI).
Avec cette certification, les acteurs de la filière madd espère une croissance de production de 2% à 30% dans les cinq années à venir.
D’après l’APS, l’OAPI a remis au gouvernement sénégalais un certificat d’enregistrement en indication géographique du madd de Casamance par le biais du ministère du commerce. Selon le doctorant Bergony Nantsop Ngoupa, l’IG sert à identifier un produit comme étant originaire d’un lieu, d’une région, ou d’un pays.
“Nous espérons que cette filière va mieux se positionner, grâce au certificat d’enregistrement en indication géographique qui lui a été décerné, et bénéficier du soutien de l’État comme les autres. Nous devons passer d’un taux de transformation de 2 % à 30 % au moins dans les cinq prochaines années”, a réagi la présidente de l’Association pour la protection et la promotion de l’indication géographique madd de Casamance (APPIGMAC), Maïmouna Sambou.
Selon, les experts du ministre du commerce et de l’industrie, Le madd de Casamance est le « fruit sauvage » de la « saba senegalensis », le nom scientifique de ladite plante, « qui pousse dans les forêts de Casamance », dans le sud du Sénégal.
Abordant les voies et moyens à explorer pour valoriser davantage le produit, Mme Sambou estime qu’« il faut d’abord relever les défis de la préservation de la ressource et de son écosystème, de la cueillette et de la mise en place de centres d’agréage des produits frais ».
Talla Samb, représentant du ministre de l’Industrie et du Commerce estime que Le certificat d’enregistrement en indication géographique confère de la « notoriété » et une « bonne réputation » au produit.
« Le madd de Casamance est très prisé. Il va falloir que les acteurs s’organisent pour protéger le label IG madd de Casamance », a-t-il fait remarqué.
Avec cette certification, les acteurs de la filière madd espère une croissance de production de 2% à 30% dans les cinq années à venir.
D’après l’APS, l’OAPI a remis au gouvernement sénégalais un certificat d’enregistrement en indication géographique du madd de Casamance par le biais du ministère du commerce. Selon le doctorant Bergony Nantsop Ngoupa, l’IG sert à identifier un produit comme étant originaire d’un lieu, d’une région, ou d’un pays.
“Nous espérons que cette filière va mieux se positionner, grâce au certificat d’enregistrement en indication géographique qui lui a été décerné, et bénéficier du soutien de l’État comme les autres. Nous devons passer d’un taux de transformation de 2 % à 30 % au moins dans les cinq prochaines années”, a réagi la présidente de l’Association pour la protection et la promotion de l’indication géographique madd de Casamance (APPIGMAC), Maïmouna Sambou.
Selon, les experts du ministre du commerce et de l’industrie, Le madd de Casamance est le « fruit sauvage » de la « saba senegalensis », le nom scientifique de ladite plante, « qui pousse dans les forêts de Casamance », dans le sud du Sénégal.
Abordant les voies et moyens à explorer pour valoriser davantage le produit, Mme Sambou estime qu’« il faut d’abord relever les défis de la préservation de la ressource et de son écosystème, de la cueillette et de la mise en place de centres d’agréage des produits frais ».
Talla Samb, représentant du ministre de l’Industrie et du Commerce estime que Le certificat d’enregistrement en indication géographique confère de la « notoriété » et une « bonne réputation » au produit.
« Le madd de Casamance est très prisé. Il va falloir que les acteurs s’organisent pour protéger le label IG madd de Casamance », a-t-il fait remarqué.
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