La journaliste du groupe Futurs médias, Mame Sira Konaté est libre. Elle a été relaxée après 24h de détention. L’affaire a été classée sans suite par le parquet. En réalité la journaliste de l’Observateur a eu un petit incident lié à un véhicule mal garé avec un colonel de la police lors du jalonnement de la corniche où devait passer le cortège du président de la République.
Cet incident ramène au goût du jour la nécessité de pacifier les relations entre les journalistes et les forces de l’ordre. Elles sont très tendues et risquent d’être de plus en plus exécrables avec les élections qui se profilent à l’horizon (février 2012).
Mame Sira Konaté est une consoeur exemplaire. Elle est journaliste depuis de longue date et s’est illustrée par le sérieux et une abnégation notoire.
Par ailleurs PressAfrik.com tient à s'excuser auprès du commandant de la brigade de gendarmerie de Ouakam qui a été cité dans cette affaire dans notre article publié ce mardi matin hors ce n'était nullement lui qui avait un litige avec notre consoeur. Il s'est trouvé que notre source ne nous a pas filé la bonne information. C'est après recoupement qu'on s'est rendu compte que l'affaire remonte à la journée du lundi. Nous prions nos chers visiteurs de nous en excuser pour cette erreur commise de bonne foi. Dans la veine, PressAfrik apporte tout son soutien à la consoeur Mame Sira Konaté.
Cet incident ramène au goût du jour la nécessité de pacifier les relations entre les journalistes et les forces de l’ordre. Elles sont très tendues et risquent d’être de plus en plus exécrables avec les élections qui se profilent à l’horizon (février 2012).
Mame Sira Konaté est une consoeur exemplaire. Elle est journaliste depuis de longue date et s’est illustrée par le sérieux et une abnégation notoire.
Par ailleurs PressAfrik.com tient à s'excuser auprès du commandant de la brigade de gendarmerie de Ouakam qui a été cité dans cette affaire dans notre article publié ce mardi matin hors ce n'était nullement lui qui avait un litige avec notre consoeur. Il s'est trouvé que notre source ne nous a pas filé la bonne information. C'est après recoupement qu'on s'est rendu compte que l'affaire remonte à la journée du lundi. Nous prions nos chers visiteurs de nous en excuser pour cette erreur commise de bonne foi. Dans la veine, PressAfrik apporte tout son soutien à la consoeur Mame Sira Konaté.