Dans un contexte où l’ internet constitue un outil incontournable de communication et d’amplification, dans l'extériorisation des pensées humaines, l’Etat du Sénégal en procédant à l’adoption de lois et réglementations répressives, viole des droits numériques par des arrestations et intimidations des usagers. Une situation qui est considérée comme une entrave à la liberté d’expression par les journalistes.
" C'est dans cette lancée que l'on évoque la question de la liberté d'expression dans les réseaux sociaux, qu'un atelier a été initié à cet égard avec les journalistes" comme l'explique Babacar Diop de l’organisation JONCTION, ceci dans le cadre du programme Africa Digital Rights Fund (ADRF). Face aux dérives des justiciables, le journaliste Joe Marrone, un des panéliste, plaide pour la régularisation, l’accompagnement et la formation, de l’Etat à l’encontre des utilisateurs du net et non l’emprisonnement.
Le président de l’Appel (association des professionnels de la presse en ligne), Ibrahima Lissa Faye fait resurgir la loi portant sur le code des communications électroniques, qui avait suscité plusieurs craintes et interrogations introduit à quelques mois de l’élection présidentielle de février dernier pour dire que la liberté d’expression des journalistes est non seulement menacée, mais l’Etat contrôle la toile.
Pour ce qui doit être retenu durant ces échanges entres acteurs du domaine de la liberté d'expression, c'est la modération du comportement citoyen vis-à-vis de l'internet sans en faire mauvais usage. Certains pensent qu'il faut un garde fou dans toutes choses. Et pour d'autres faire recours à des mesures d'alerte, de sensibilisation et de conscientisation peut stopper les dérives.
" C'est dans cette lancée que l'on évoque la question de la liberté d'expression dans les réseaux sociaux, qu'un atelier a été initié à cet égard avec les journalistes" comme l'explique Babacar Diop de l’organisation JONCTION, ceci dans le cadre du programme Africa Digital Rights Fund (ADRF). Face aux dérives des justiciables, le journaliste Joe Marrone, un des panéliste, plaide pour la régularisation, l’accompagnement et la formation, de l’Etat à l’encontre des utilisateurs du net et non l’emprisonnement.
Le président de l’Appel (association des professionnels de la presse en ligne), Ibrahima Lissa Faye fait resurgir la loi portant sur le code des communications électroniques, qui avait suscité plusieurs craintes et interrogations introduit à quelques mois de l’élection présidentielle de février dernier pour dire que la liberté d’expression des journalistes est non seulement menacée, mais l’Etat contrôle la toile.
Pour ce qui doit être retenu durant ces échanges entres acteurs du domaine de la liberté d'expression, c'est la modération du comportement citoyen vis-à-vis de l'internet sans en faire mauvais usage. Certains pensent qu'il faut un garde fou dans toutes choses. Et pour d'autres faire recours à des mesures d'alerte, de sensibilisation et de conscientisation peut stopper les dérives.