Face à une telle découverte, le constat devient alarmant. En effet, « l’analyse de près de 3 000 échantillons fécaux, collectés à travers l’Afrique centrale, montre que l’infection est très répandue chez le gorille de l’Ouest , avec 32 à 48 % des individus porteurs. L’existence d’un tel réservoir recule les perspectives d’éradication du fléau, qui tue chaque année plus d’un million de personnes dans le monde ».
« Pour la première fois, les scientifiques montrent que le plus grand des primates est un réservoir animal de la maladie, transmise à l’homme par les moustiques Anopheles », précise le communiqué.
« Grâce à une technique de séquençage du génome appelée single genome amplification (SGA), ils ont identifié et caractérisé les séquences de l’ADN du parasite présent dans des échantillons fécaux d’animaux sauvages. Cette méthode de haute précision leur a également permis de prouver que c’est le gorille qui a contaminé les humains, et non l’inverse ».
Et le communiqué de nous rappeler que : « le paludisme affecte 250 à 500 millions de personnes chaque année, tuant plus d’un million d’entre eux, dont 90 % en Afrique, le plus souvent de jeunes enfants. C’est la maladie parasitaire la plus répandue dans le monde. Cette infection du sang est véhiculée par les femelles moustiques du genre Anopheles , qui transmettent par leur piqûre les parasites responsables, dont le plus fréquent et le plus virulent est Plasmodium falciparum ».
« Pour la première fois, les scientifiques montrent que le plus grand des primates est un réservoir animal de la maladie, transmise à l’homme par les moustiques Anopheles », précise le communiqué.
« Grâce à une technique de séquençage du génome appelée single genome amplification (SGA), ils ont identifié et caractérisé les séquences de l’ADN du parasite présent dans des échantillons fécaux d’animaux sauvages. Cette méthode de haute précision leur a également permis de prouver que c’est le gorille qui a contaminé les humains, et non l’inverse ».
Et le communiqué de nous rappeler que : « le paludisme affecte 250 à 500 millions de personnes chaque année, tuant plus d’un million d’entre eux, dont 90 % en Afrique, le plus souvent de jeunes enfants. C’est la maladie parasitaire la plus répandue dans le monde. Cette infection du sang est véhiculée par les femelles moustiques du genre Anopheles , qui transmettent par leur piqûre les parasites responsables, dont le plus fréquent et le plus virulent est Plasmodium falciparum ».