Annoncé plusieurs fois sans être respectée, la mise en exploitation du Train express régional (Ter) est retenue cette fois, au plus tard pour la fin de l’année 2021, a fait savoir le directeur général de la Sen-Ter S.A, Abdou Ndéné Sall, dans une interview avec L’Observateur.
« Aujourd’hui, nous avons un avancement global assez conséquent des travaux. Nous sommes à 97% d’exécution de l’ensemble des travaux. Nous avons même commencé les tests de certification parce que le TER est moins de transport de masse extrêmement important », a tenu à préciser M. Sall.
Pour la mise en exécution, Abdou Ndéné Sall a précisé qu’il faut donc « la certification de la sureté des installations fixes et du matériel roulant du système. Il faut également la certification de la performance opérationnelle du système dans son ensemble, en termes de fiabilité, de maintenabilité, de disponibilité ».
Mais pas seulement. Car, selon toujours le directeur général, « il faut vérifier la performance opérationnelle de l’opérateur et de l’ensemble de ses sous-traitants, en termes de compétences, de procédure et de mise en œuvre en situation normale comme dans le temps de perturbation ». Cela dit qu’il faut donc obtenir toutes ces certifications avant d’avoir l’autorisation de la mise en exploitation commerciale.
Abdou Ndéné Sall a fait savoir qu’une grande société de certification, la meilleur au monde, a été recrutée pour venir certifier le TER. « Actuellement, on est engagé dans la certification et la société de certification nous a dit que qu’il est possible de faire tous les tests de certification et de pouvoir démarrer l’exploitation avant la fin de l’année 2021 », a-t-il dit.
« Aujourd’hui, nous avons un avancement global assez conséquent des travaux. Nous sommes à 97% d’exécution de l’ensemble des travaux. Nous avons même commencé les tests de certification parce que le TER est moins de transport de masse extrêmement important », a tenu à préciser M. Sall.
Pour la mise en exécution, Abdou Ndéné Sall a précisé qu’il faut donc « la certification de la sureté des installations fixes et du matériel roulant du système. Il faut également la certification de la performance opérationnelle du système dans son ensemble, en termes de fiabilité, de maintenabilité, de disponibilité ».
Mais pas seulement. Car, selon toujours le directeur général, « il faut vérifier la performance opérationnelle de l’opérateur et de l’ensemble de ses sous-traitants, en termes de compétences, de procédure et de mise en œuvre en situation normale comme dans le temps de perturbation ». Cela dit qu’il faut donc obtenir toutes ces certifications avant d’avoir l’autorisation de la mise en exploitation commerciale.
Abdou Ndéné Sall a fait savoir qu’une grande société de certification, la meilleur au monde, a été recrutée pour venir certifier le TER. « Actuellement, on est engagé dans la certification et la société de certification nous a dit que qu’il est possible de faire tous les tests de certification et de pouvoir démarrer l’exploitation avant la fin de l’année 2021 », a-t-il dit.
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