Kelly Craft a prêté allégeance juste à temps pour représenter les États-Unis à la 74e assemblée générale de l’ONU qui se déroulera fin septembre, faisant son entrée sur un tout autre ton que celui de Nikki Haley, tranchante en janvier 2017. Au contraire, Kelly Craft, une blonde élancée de 57 ans évitant les questions des journalistes, a réaffirmé l’importance de l’ONU pour les États-Unis. Cela alors que Donald Trump essayait jusqu’ici de s’en détacher et de réduire les financements américains.
Un bilan pas exceptionnel
Le choix de Kelly Craft a fait hausser quelques sourcils ici aux États-Unis. D’ores et déjà, elle n’a aucune position à Washington et aura donc moins de poids politique que son prédécesseur. Puis, le bilan de ses deux dernières années en tant qu’ambassadrice au Canada n’est pas exceptionnel: il a été marqué par son faible taux de présence à Ottawa, la diplomate préférant séjourner dans son Kentucky natal, semble-t-il.
Et surtout, le point le plus préoccupant reste ses positions à propos du changement climatique. Alors que l’ONU désire faire de la lutte contre le réchauffement climatique sa priorité, Kelly Craft est mariée depuis trois ans à un magnat du charbon et est connue pour avoir affiché son scepticisme sur le sujet devant caméras.
Promesses
Pour accéder à ce poste d’ambassadrice auprès de l’ONU, Kelly Craft a toutefois fait marche arrière lors de son audition publique, et affirmé croire que les énergies fossiles et l’activité humaine étaient bien à l’origine du réchauffement climatique. Elle a aussi promis de ne participer à aucune discussion onusienne à propos du climat ou du charbon.
Un bilan pas exceptionnel
Le choix de Kelly Craft a fait hausser quelques sourcils ici aux États-Unis. D’ores et déjà, elle n’a aucune position à Washington et aura donc moins de poids politique que son prédécesseur. Puis, le bilan de ses deux dernières années en tant qu’ambassadrice au Canada n’est pas exceptionnel: il a été marqué par son faible taux de présence à Ottawa, la diplomate préférant séjourner dans son Kentucky natal, semble-t-il.
Et surtout, le point le plus préoccupant reste ses positions à propos du changement climatique. Alors que l’ONU désire faire de la lutte contre le réchauffement climatique sa priorité, Kelly Craft est mariée depuis trois ans à un magnat du charbon et est connue pour avoir affiché son scepticisme sur le sujet devant caméras.
Promesses
Pour accéder à ce poste d’ambassadrice auprès de l’ONU, Kelly Craft a toutefois fait marche arrière lors de son audition publique, et affirmé croire que les énergies fossiles et l’activité humaine étaient bien à l’origine du réchauffement climatique. Elle a aussi promis de ne participer à aucune discussion onusienne à propos du climat ou du charbon.