Le candidat à la dernière élection présidentielle, Aly Ngouille Ndiaye a fait une analyse du dernier scrutin présidentiel. « C’est une élection qui est rentrée dans les annales parce que riche en péripéties. Entre l’annulation de l’élection, son report par l’Assemblée nationale, les recours au Conseil constitutionnel favorables à l’opposition, la fixation de la date des élections, la courte durée de la campagne et le scrutin, c’était une montagne russe, en cinquante jours, entre le 3 février et le 24 mars 2024 », a constaté l’ancien ministre de l’intérieur, dans l’Observateur. Et d’ajouter : « Je sais que tous les acteurs l’ont vécu difficilement sur les plans psychologique, physique, financier, etc. »
Ayant obtenu 0,47% des suffrages, Aly Ngouille Ndiaye « n’est pas satisfait » de ce score . « Je m’attendais à mieux. Toutefois, il faut noter que le report, l’incertitude de la tenue de l’élection et la durée de la campagne très courte ont beaucoup impacté le processus », a-t-il dit. L’ex-membre de Benno Bokk Yaakaar (BBY) a soutenu : « Je suis parti à cette élection sans appareil politique et cela compte beaucoup. Pour une première participation, je pense qu’on aurait pu faire mieux, mais nous allons continuer à travailler car le Sénégal reste toujours notre priorité ».
Pour son avenir politique, le natif de Linguère dit vouloir prendre le temps de la réflexion et ensuite « échanger avec mes partisans pour la suite à donner à notre engagement politique, comme nous l’avions fait au début, en 2007 ». Ancien ministre dans le gouvernement d’Amadou Ba, Aly Ngouille Ndiaye n’est pas surpris de la défaite de son ancien collaborateur. Il lâche : « J’ai considéré que BBY n’est plus majoritaire dans ce pays depuis 2022 et les deux élections (locales et législatives) tenues cette même année l’ont prouvé. En plus, le report, la suspicion de corruption qui pèse sur lui et toutes les péripéties qu’il a endurées n’ont pas facilité les choses »
Félicitant Bassirou Diomaye Faye pour son élection, Aly Ngouille Ndiaye conseille ce dernier à « faire un état des lieux exhaustifs de la situation du pays. Les Sénégalais ont voulu ce changement, car ils ont faim, ils veulent se soigner, ils veulent être en sécurité éducatif performant, etc. » Selon lui, « la reddition des comptes n’est pas négociable en démocratie. En plus, la jeunesse engagée est la première ressource sur laquelle il doit miser pour relever les défis et mettre en œuvre son programme ». L’ancien ministre ne trouve « aucun problème » sur le duo Diomaye-Sonko.
Ayant obtenu 0,47% des suffrages, Aly Ngouille Ndiaye « n’est pas satisfait » de ce score . « Je m’attendais à mieux. Toutefois, il faut noter que le report, l’incertitude de la tenue de l’élection et la durée de la campagne très courte ont beaucoup impacté le processus », a-t-il dit. L’ex-membre de Benno Bokk Yaakaar (BBY) a soutenu : « Je suis parti à cette élection sans appareil politique et cela compte beaucoup. Pour une première participation, je pense qu’on aurait pu faire mieux, mais nous allons continuer à travailler car le Sénégal reste toujours notre priorité ».
Pour son avenir politique, le natif de Linguère dit vouloir prendre le temps de la réflexion et ensuite « échanger avec mes partisans pour la suite à donner à notre engagement politique, comme nous l’avions fait au début, en 2007 ». Ancien ministre dans le gouvernement d’Amadou Ba, Aly Ngouille Ndiaye n’est pas surpris de la défaite de son ancien collaborateur. Il lâche : « J’ai considéré que BBY n’est plus majoritaire dans ce pays depuis 2022 et les deux élections (locales et législatives) tenues cette même année l’ont prouvé. En plus, le report, la suspicion de corruption qui pèse sur lui et toutes les péripéties qu’il a endurées n’ont pas facilité les choses »
Félicitant Bassirou Diomaye Faye pour son élection, Aly Ngouille Ndiaye conseille ce dernier à « faire un état des lieux exhaustifs de la situation du pays. Les Sénégalais ont voulu ce changement, car ils ont faim, ils veulent se soigner, ils veulent être en sécurité éducatif performant, etc. » Selon lui, « la reddition des comptes n’est pas négociable en démocratie. En plus, la jeunesse engagée est la première ressource sur laquelle il doit miser pour relever les défis et mettre en œuvre son programme ». L’ancien ministre ne trouve « aucun problème » sur le duo Diomaye-Sonko.
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