Le nouveau président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Idrissa Seck, est revenu sur la polémique de sa passation de service avortée avec son prédécesseur Aminata Touré, qu'il a accusé d'avoir en quelque sorte bloqué les dossiers administratifs de l'institution qui permettraient à la nouvelle équipe de faire l'état des lieux.
Interrogée par la Tfm, l'ancien Premier ministre Aminata Touré a tenu à apporter des précisions sur l'interpellation de son successeur. Selon l'ancienne fonctionnaire des Nations Unies, Idy est très en déphasage avec les évolutions du monde du travail. Cela dû au fait de sa longue période de "chômage"
"Je regrette que le nouveau président (du CESE) ne soit pas venu à la passation. S'il avait des questions à clarifier, ç'aurait-été l'occasion de le faire. Il n'est malheureusement pas venu. Je pense que le problème c'est qu'il est resté longtemps sans travailler. Et les procédures ont beaucoup évolué. Les procédures, désormais, sont informatisées", a taquiné l'ancien ministre de la Justice
Qui ajoute pour expliquer l'origine du blocage administratif: "Ce qui malheureusement s'est passé, deux jours après mon départ, on a interdit aux principaux cadres, notamment le Directeur administratif et financier, le Directeur des Ressources Humaines d'entrer dans les locaux du Conseil économique (social et environnemental). Et en bons fonctionnaires, ils ont d'ailleurs fait constater cet état de fait. Ils ne venaient pas pour autre chose que de transmettre les dossiers".
Mimi Touré d'assurer que les choses sont finalement rentrées dans l'ordre puisque l'ancien Directeur administratif a été finalement autorisé ce jeudi à entrer dans les locaux du CESE pour faire la passation de service avec le nouveau Directeur administratif et financier.
Avant de regretter le retard: "ça on aurait pu le faire il y a des jours. (...) Maintenant, on travaille en ligne, avec des logiciels de gestion. On ne travaille plus avec des papiers. Le point a été fait, les rapports ont été faits. Malheureusement, on n'a pas eu l'occasion de faire une passation directe. Mais s'il avait autorisé ces cadres à entrer, il n'y aurait pas eu tous ces problèmes. Mais malheureusement, il y a eu ce que je considère comme une chasse au sorcière prématurée. Ce n'était pas nécessaire"
Interrogée par la Tfm, l'ancien Premier ministre Aminata Touré a tenu à apporter des précisions sur l'interpellation de son successeur. Selon l'ancienne fonctionnaire des Nations Unies, Idy est très en déphasage avec les évolutions du monde du travail. Cela dû au fait de sa longue période de "chômage"
"Je regrette que le nouveau président (du CESE) ne soit pas venu à la passation. S'il avait des questions à clarifier, ç'aurait-été l'occasion de le faire. Il n'est malheureusement pas venu. Je pense que le problème c'est qu'il est resté longtemps sans travailler. Et les procédures ont beaucoup évolué. Les procédures, désormais, sont informatisées", a taquiné l'ancien ministre de la Justice
Qui ajoute pour expliquer l'origine du blocage administratif: "Ce qui malheureusement s'est passé, deux jours après mon départ, on a interdit aux principaux cadres, notamment le Directeur administratif et financier, le Directeur des Ressources Humaines d'entrer dans les locaux du Conseil économique (social et environnemental). Et en bons fonctionnaires, ils ont d'ailleurs fait constater cet état de fait. Ils ne venaient pas pour autre chose que de transmettre les dossiers".
Mimi Touré d'assurer que les choses sont finalement rentrées dans l'ordre puisque l'ancien Directeur administratif a été finalement autorisé ce jeudi à entrer dans les locaux du CESE pour faire la passation de service avec le nouveau Directeur administratif et financier.
Avant de regretter le retard: "ça on aurait pu le faire il y a des jours. (...) Maintenant, on travaille en ligne, avec des logiciels de gestion. On ne travaille plus avec des papiers. Le point a été fait, les rapports ont été faits. Malheureusement, on n'a pas eu l'occasion de faire une passation directe. Mais s'il avait autorisé ces cadres à entrer, il n'y aurait pas eu tous ces problèmes. Mais malheureusement, il y a eu ce que je considère comme une chasse au sorcière prématurée. Ce n'était pas nécessaire"
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