L’enquête a été menée entre le mois d’août et septembre derniers, "sur toute l’étendue du territoire" sénégalais, sur la base d’"un échantillon de 1.933" personnes, ont indiqué ses auteurs lors d’une conférence de presse. L’étude a été conduite au moyen d’"interviews" directes avec les personnes faisant partie de l’échantillon, selon les deux cabinets Synchronix et Afrique Communication qui ont réalisé l'étude.
En ce qui concerne la télévision, "48 % des Sénégalais ont une préférence pour la Télévision futurs medias (TFM)", la chaîne du groupe privé GFM. Elle est "la chaîne la plus connue et la plus regardée au Sénégal, devant la chaîne privée 2STV", qui concentre 23,9 % du taux d’audience, selon les auteurs de l’enquête.
La RTS1, qui appartient au secteur public, vient en troisième position avec 21,2 %, indiquent les cabinets Synchronix et Afrique Communication.
Les enquêteurs disent avoir constaté que la télévision est surtout regardée au Sénégal entre 19h et 21h. "Les forts taux de pénétration de la télévision se trouvent entre 19h et 21h", la période durant laquelle sont diffusés les telenovelas, les feuilletons souvent importés d’Amérique du Sud, mais aussi les grandes éditions des journaux télévisés et les téléfilms sénégalais, a expliqué Latiphe Seck, le directeur général de Synchronix.
L’étude rapporte que "la radio connait ses heures de meilleure pénétration en début de matinée", avec un "pic d’audience" entre 8h et 9h et la Radio futurs médias (RFM), qui appartient à GFM, Walf FM, du groupe privé Walfadjri, et Zik FM, la radio du groupe privé D-Média, sont respectivement les stations les plus écoutées au Sénégal, selon l’étude.
Si la RFM est la radio la plus écoutée au Sénégal, Zik FM est la radio (…) la plus connue à Dakar", affirme Latiphe Seck, en présentant l’enquête aux journalistes.
Pour la presse écrite, l’étude met en exergue "un important écart entre le taux de lecture de la presse quotidienne (91,8%) et celui de la presse hebdomadaire (13,6%) et mensuelle (12,7%)".
"Au Sénégal, près de neuf lecteurs de quotidiens sur 10 lisent le journal L’Observateur", le quotidien de GFM, qui "devance le quotidien sportif Stades (39,4%) et Le Populaire (privé, 11,8%)", a détaillé Dr Thiendou Niang, le directeur d’Afrique Communication.
L’enquête ne concerne pas les sites d’information.
En ce qui concerne la télévision, "48 % des Sénégalais ont une préférence pour la Télévision futurs medias (TFM)", la chaîne du groupe privé GFM. Elle est "la chaîne la plus connue et la plus regardée au Sénégal, devant la chaîne privée 2STV", qui concentre 23,9 % du taux d’audience, selon les auteurs de l’enquête.
La RTS1, qui appartient au secteur public, vient en troisième position avec 21,2 %, indiquent les cabinets Synchronix et Afrique Communication.
Les enquêteurs disent avoir constaté que la télévision est surtout regardée au Sénégal entre 19h et 21h. "Les forts taux de pénétration de la télévision se trouvent entre 19h et 21h", la période durant laquelle sont diffusés les telenovelas, les feuilletons souvent importés d’Amérique du Sud, mais aussi les grandes éditions des journaux télévisés et les téléfilms sénégalais, a expliqué Latiphe Seck, le directeur général de Synchronix.
L’étude rapporte que "la radio connait ses heures de meilleure pénétration en début de matinée", avec un "pic d’audience" entre 8h et 9h et la Radio futurs médias (RFM), qui appartient à GFM, Walf FM, du groupe privé Walfadjri, et Zik FM, la radio du groupe privé D-Média, sont respectivement les stations les plus écoutées au Sénégal, selon l’étude.
Si la RFM est la radio la plus écoutée au Sénégal, Zik FM est la radio (…) la plus connue à Dakar", affirme Latiphe Seck, en présentant l’enquête aux journalistes.
Pour la presse écrite, l’étude met en exergue "un important écart entre le taux de lecture de la presse quotidienne (91,8%) et celui de la presse hebdomadaire (13,6%) et mensuelle (12,7%)".
"Au Sénégal, près de neuf lecteurs de quotidiens sur 10 lisent le journal L’Observateur", le quotidien de GFM, qui "devance le quotidien sportif Stades (39,4%) et Le Populaire (privé, 11,8%)", a détaillé Dr Thiendou Niang, le directeur d’Afrique Communication.
L’enquête ne concerne pas les sites d’information.