Le représentant du FMI, Bob Traa, à son arrivée au ministère des Finances à Athènes, le 3 mars 2013.
ccccc De très importants progrès ont été réalisés dans tous les domaines mais il reste quelques questions en suspens, ont expliqué les représentants de la troïka avant de quitter Athènes. Des questions assez techniques, si l'on en croit le ministre grec des Finances, qui seront résolues d'ici la fin du mois.
Le pays doit en effet présenter des mesures très concrètes pour parvenir aux objectifs fixés par la troïka : la suppression de 150 000 postes de fonctionnaires d'ici à fin 2015, l'accélération des privatisations et la recapitalisation des quatre principales banques du pays. Une fois ces mesures présentées, la nouvelle tranche d'aide pourra être débloquée sans aucune nouvelle mesure d'austérité, a promis Antonis Samaras, le Premier ministre.
Besoin de temps et de fonds
Plus de sous et moins d'austérité, c'est ce que recommande aussi l'Institut de la finance internationale. Selon le lobby bancaire, les objectifs fixés à la Grèce par ses bailleurs de fonds étaient tout simplement irréalisables. Et pour retrouver le chemin de la croissance, le pays a impérativement besoin de temps et de fonds. Une nouvelle aide coûterait au final bien moins cher que si le PIB grec continuait à chuter et si les doutes sur l'insolvabilité du pays persistaient, estime l'Institut.
Athènes entame en 2013 sa quatrième année d'austérité et sa sixième année de récession économique.
Source : Rfi.fr
Le pays doit en effet présenter des mesures très concrètes pour parvenir aux objectifs fixés par la troïka : la suppression de 150 000 postes de fonctionnaires d'ici à fin 2015, l'accélération des privatisations et la recapitalisation des quatre principales banques du pays. Une fois ces mesures présentées, la nouvelle tranche d'aide pourra être débloquée sans aucune nouvelle mesure d'austérité, a promis Antonis Samaras, le Premier ministre.
Besoin de temps et de fonds
Plus de sous et moins d'austérité, c'est ce que recommande aussi l'Institut de la finance internationale. Selon le lobby bancaire, les objectifs fixés à la Grèce par ses bailleurs de fonds étaient tout simplement irréalisables. Et pour retrouver le chemin de la croissance, le pays a impérativement besoin de temps et de fonds. Une nouvelle aide coûterait au final bien moins cher que si le PIB grec continuait à chuter et si les doutes sur l'insolvabilité du pays persistaient, estime l'Institut.
Athènes entame en 2013 sa quatrième année d'austérité et sa sixième année de récession économique.
Source : Rfi.fr
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