La question des bases française s’est invité ce samedi 17 avril à la journée d’étude du centre de formation et de documentation de l’Alliance des Forces de Progrès, «Regards croisés sur les 50 ans du Sénégal». En effet le secrétaire général de ladite formation politique, Moustapha Niasse a largement battu en brèche la thèse du Président de la République, Me Abdoulaye Wade selon laquelle c’est le Sénégal qui aurait décidé de reprendre les bases françaises. Selon lui, le Sénégal n’a rien demandé à la France. «Il faut absolument, qu’en disant la vérité, les autorités de notre pays adoptent une approche réaliste, transparente et honnête de cette situation» a-t-il soutenu.
Il a fait savoir qu’«il y a trois raisons pour lesquelles la France et même les grandes puissances réduisent, depuis quelques années, le nombre de leurs bases en dehors de leurs territoires nationaux. Elles en maintiennent certaines dans le but de faciliter des relais encore séparés par de très longues distances, comme dans les zones de l’Océan Indien et de l’Océan Pacifique». Pour lui, les données anciennes ont changé aujourd’hui. Sur le plan technique, de même que dans les motivations politiques, avec la fin de la guerre froide et de l’affaiblissement du concept de zones d’influence politique, le sens que portait la présence de bases militaires hors des territoires des puissances concernées, a évolué et a même changé.
Le progressiste a fait comprendre que «la vérité historique et les raisons techniques auxquelles il faut ajouter la réalité nouvelle de la charge budgétaire que constitue l’entretien, en plusieurs points du gobe, de bases militaires, en termes de coûts financiers, lorsque les nouvelles technologies dispensent aujourd’hui les grandes puissances, de ce genre de contraintes financières et de dispositifs militaires coûteux, constituent les principales raisons pour lesquelles la France a décidé de fermer certaines de ses bases à l’intérieur même de la France et à l’étranger ou d’alléger les effectifs de certaines d’entre elles.
Il a fait savoir qu’«il y a trois raisons pour lesquelles la France et même les grandes puissances réduisent, depuis quelques années, le nombre de leurs bases en dehors de leurs territoires nationaux. Elles en maintiennent certaines dans le but de faciliter des relais encore séparés par de très longues distances, comme dans les zones de l’Océan Indien et de l’Océan Pacifique». Pour lui, les données anciennes ont changé aujourd’hui. Sur le plan technique, de même que dans les motivations politiques, avec la fin de la guerre froide et de l’affaiblissement du concept de zones d’influence politique, le sens que portait la présence de bases militaires hors des territoires des puissances concernées, a évolué et a même changé.
Le progressiste a fait comprendre que «la vérité historique et les raisons techniques auxquelles il faut ajouter la réalité nouvelle de la charge budgétaire que constitue l’entretien, en plusieurs points du gobe, de bases militaires, en termes de coûts financiers, lorsque les nouvelles technologies dispensent aujourd’hui les grandes puissances, de ce genre de contraintes financières et de dispositifs militaires coûteux, constituent les principales raisons pour lesquelles la France a décidé de fermer certaines de ses bases à l’intérieur même de la France et à l’étranger ou d’alléger les effectifs de certaines d’entre elles.
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