Face à la presse hier lundi, Malick Noël Seck et Compagnie ont souligné que le sommet de la Francophonie n’est rien d’autre que « le sommet de la danse et de la musique ». Pis, assimilant l’Organisation internationale de la francophonie (Oif) à de « l’escroquerie politique », l’ancien coordonnateur de la Convergence socialiste et ses amis exigent que les questions politiques sous-jacentes soient posées. A savoir, le développement de l’Afrique qui passe avant tout par la souveraineté.
Selon Dialo Diop, il s’agit, d’une part, de « mettre immédiatement fin au statut inadmissible de la langue Française comme langue officiellement exclusive dans les pays dits francophones et ériger les langues africaines en langues de travail constitutionnellement reconnues ». Et d’autre part, d’ « établir les valeurs de la souveraineté africaine et du patriotisme économique comme principes directeurs dans la stratégie d’unification… ».
Le commissaire Cheikhna Keïta déclare, dans les colonnes du journal « Le Populaire », déclare : « Nous avons surfé sur l’interdiction pour faire passer notre message. Macky Sall a voulu faire taire tout le monde pour réussir son sommet. Leur sommet est terminé nous continuons le nôtre ».
Selon Dialo Diop, il s’agit, d’une part, de « mettre immédiatement fin au statut inadmissible de la langue Française comme langue officiellement exclusive dans les pays dits francophones et ériger les langues africaines en langues de travail constitutionnellement reconnues ». Et d’autre part, d’ « établir les valeurs de la souveraineté africaine et du patriotisme économique comme principes directeurs dans la stratégie d’unification… ».
Le commissaire Cheikhna Keïta déclare, dans les colonnes du journal « Le Populaire », déclare : « Nous avons surfé sur l’interdiction pour faire passer notre message. Macky Sall a voulu faire taire tout le monde pour réussir son sommet. Leur sommet est terminé nous continuons le nôtre ».