L'athlétisme sénégalais ne peut "pas tomber plus bas" que son niveau actuel, c’est l’avis du président de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF), Lamine Diack, commentant les résultats actuels du Sénégal dans cette discipline.
L'absence de l'athlétisme à l'école et le manque de sprinters "sont les preuves palpables de cette descente aux enfers", a-t-il indiqué en marge de la coupe continentale (13 et 14 septembre à Marrakech), dans des propos ont été relayés par Sud Quotidien.
A cette coupe continentale, le Sénégal n'était représenté par Amy Sène (marteau). Cette dernière était le seul médaillé d'argent dans la délégation sénégalaise forte de 14 athlètes qui avait pris part aux championnats d'Afrique d'athlétisme qui ont eu lieu dans la même ville marocaine du 10 au 14 août.
A ceux qui évoquent la tenue des assises de l'athlétisme, le patron de l'athlétisme mondial rappelle que des rencontres ont été organisées dans ce sens. Selon lui, "il est temps de passer à l'acte''.
"On doit arrêter de parler et agir", dit-il, estimant que l'avenir se trouve à un retour de l'athlétisme dans les écoles. Lamine Diack affirme que sa génération a joué sa partition, il en appelle donc à l'actuelle génération pour prendre la relève.
"Il faut que quelqu'un dise : +j'en fais mon affaire personnelle+", a insisté le président de l'IAAF qui va quitter la présidence de l'instance dirigeante de l'athlétisme mondial en août 2015.
Lamine Diack a dirigé la Confédération africaine d'athlétisme (CAT) de 1973 à 2003, avant d'être porté à la tête de l'IAAF depuis 1999.
Ancien champion de France du saut à la longueur, l'inspecteur des impôts et domaines de formation a été ministre des Sports, député et maire de Dakar.
L'absence de l'athlétisme à l'école et le manque de sprinters "sont les preuves palpables de cette descente aux enfers", a-t-il indiqué en marge de la coupe continentale (13 et 14 septembre à Marrakech), dans des propos ont été relayés par Sud Quotidien.
A cette coupe continentale, le Sénégal n'était représenté par Amy Sène (marteau). Cette dernière était le seul médaillé d'argent dans la délégation sénégalaise forte de 14 athlètes qui avait pris part aux championnats d'Afrique d'athlétisme qui ont eu lieu dans la même ville marocaine du 10 au 14 août.
A ceux qui évoquent la tenue des assises de l'athlétisme, le patron de l'athlétisme mondial rappelle que des rencontres ont été organisées dans ce sens. Selon lui, "il est temps de passer à l'acte''.
"On doit arrêter de parler et agir", dit-il, estimant que l'avenir se trouve à un retour de l'athlétisme dans les écoles. Lamine Diack affirme que sa génération a joué sa partition, il en appelle donc à l'actuelle génération pour prendre la relève.
"Il faut que quelqu'un dise : +j'en fais mon affaire personnelle+", a insisté le président de l'IAAF qui va quitter la présidence de l'instance dirigeante de l'athlétisme mondial en août 2015.
Lamine Diack a dirigé la Confédération africaine d'athlétisme (CAT) de 1973 à 2003, avant d'être porté à la tête de l'IAAF depuis 1999.
Ancien champion de France du saut à la longueur, l'inspecteur des impôts et domaines de formation a été ministre des Sports, député et maire de Dakar.