Sabri Lamouchi, abattu n’a pas perdu son verbe après la défaite des Eléphants en quart de finale de la CAN 2013. L’objectif de remporter la CAN n’a pas été atteint. Une grosse désillusion pour le technicien franco-tunisien qui pensait pourtant vouloir de sa première compétition, un coup de maître. « On n'avait qu'un objectif, c'était gagner cette CAN. Pour certains d'entre nous, c'était peut-être une dernière chance. Me concernant, c'était ma première CAN et j'avais le même objectif », a-t-il déclaré.
Face au contenu servi par ses joueurs, Lamouchi indique avoir essayer tous les remèdes pour parvenir à les réveiller. Sans succès. Mais pour lui, c’est aussi cela la loi du football. « A-t-on tout fait pour atteindre cet objectif ?, je pense que oui. On n'y est pas parvenu, c'est forcément une déception, vous imaginez dans quel état peuvent être les joueurs. Pour moi, c'est une grande tristesse, j'ai vu les joueurs travailler pendant un mois, faire les efforts, je pensais qu'on était sur le bon chemin, en train de faire du bon travail, mais ça n'a pas suffi, malheureusement. On n'a pas connu le résultat que nous souhaitions, mais perdre faire partie du métier », a indiqué l’ex-marseillais à la presse.
Après six mois de travail à la tête de la Côte d’Ivoire, cette défaite ne sera pas en mesure d’entamer sa détermination à continuer son projet. Alors pas de prémices de démission. En tout cas pour l’instant, Sabri reste à la barre. « Concernant une démission, je n'y pense même pas, il hors de question que je me résigne après six mois, en sachant le travail fait, qui certes n'a pas été suffisant pour gagner cette CAN », a-t-il confirmé.
avec Sport-Ivoire
Face au contenu servi par ses joueurs, Lamouchi indique avoir essayer tous les remèdes pour parvenir à les réveiller. Sans succès. Mais pour lui, c’est aussi cela la loi du football. « A-t-on tout fait pour atteindre cet objectif ?, je pense que oui. On n'y est pas parvenu, c'est forcément une déception, vous imaginez dans quel état peuvent être les joueurs. Pour moi, c'est une grande tristesse, j'ai vu les joueurs travailler pendant un mois, faire les efforts, je pensais qu'on était sur le bon chemin, en train de faire du bon travail, mais ça n'a pas suffi, malheureusement. On n'a pas connu le résultat que nous souhaitions, mais perdre faire partie du métier », a indiqué l’ex-marseillais à la presse.
Après six mois de travail à la tête de la Côte d’Ivoire, cette défaite ne sera pas en mesure d’entamer sa détermination à continuer son projet. Alors pas de prémices de démission. En tout cas pour l’instant, Sabri reste à la barre. « Concernant une démission, je n'y pense même pas, il hors de question que je me résigne après six mois, en sachant le travail fait, qui certes n'a pas été suffisant pour gagner cette CAN », a-t-il confirmé.
avec Sport-Ivoire