Le Directeur général de la Direction Général des Impôts et Domaines (DGID), a, ce jeudi déclaré que la cérémonie de rentrée fiscale de ce jeudi 12 ars 2020, revêt un cachet particulier. Selon Bassirou Samba Niasse, on démarre 2020 sous l’ère d’une reforme budgétaire qui veut qu’on passe au budget programme, qui est une gestion axée sur les résultats. Pour le DG, les administrations ont une dotation budgétaire pour faire des résultats et non pour fonctionner.
« L’administration fiscale Sénégalais la DGID prend en charge la gestion de la fiscalité intérieure, mais aussi la gestion du foncier. Sur cette base, nous sommes partis d’un constat que nous avons une assiette fiscale étriquée, mais nous avons aussi une assiette foncière dont la partie immatriculée est faible par rapport au reste, plus une administration qui n’est pas présente partout », soutient Bassirou Samba Niasse.
Poursuivant ces propos, il précise : « Nous nous sommes dits qu’il faut trouver une réponse structurelle à cette problématique-là, pour apporter les financements nécessaires à la mise en place du Pse. Dont juste la phase 2 coûte 14 000 milliards de F CFA. Nous avons voulu avoir une déclinaison opérationnelle à travers notre direction générale que nous avons appelé programme ‘’YAATAL’’ ».
Mieux, ajoute M. Niasse, « notre système fiscal est assis sur 85 000 contribuables que gère la Direction générale des impôts et domaine. Mais sur ce nombre, seuls 25 000 payent. Notre système fiscal est assis sur des salariés du secteur privé et du secteur public, qui sont connus par nos services qui ne dépassent guerre 450 mille. On est moins de 500 mille à payer directement l’impôt contre une population active de 6 600 000, contre une population globale de 16 millions. Vous voyez les difficultés à financer le développement ».
« L’administration fiscale Sénégalais la DGID prend en charge la gestion de la fiscalité intérieure, mais aussi la gestion du foncier. Sur cette base, nous sommes partis d’un constat que nous avons une assiette fiscale étriquée, mais nous avons aussi une assiette foncière dont la partie immatriculée est faible par rapport au reste, plus une administration qui n’est pas présente partout », soutient Bassirou Samba Niasse.
Poursuivant ces propos, il précise : « Nous nous sommes dits qu’il faut trouver une réponse structurelle à cette problématique-là, pour apporter les financements nécessaires à la mise en place du Pse. Dont juste la phase 2 coûte 14 000 milliards de F CFA. Nous avons voulu avoir une déclinaison opérationnelle à travers notre direction générale que nous avons appelé programme ‘’YAATAL’’ ».
Mieux, ajoute M. Niasse, « notre système fiscal est assis sur 85 000 contribuables que gère la Direction générale des impôts et domaine. Mais sur ce nombre, seuls 25 000 payent. Notre système fiscal est assis sur des salariés du secteur privé et du secteur public, qui sont connus par nos services qui ne dépassent guerre 450 mille. On est moins de 500 mille à payer directement l’impôt contre une population active de 6 600 000, contre une population globale de 16 millions. Vous voyez les difficultés à financer le développement ».