Le Directeur de l’Office du Baccalauréat, Socé Ndiaye, interpellé sur la question de la proclamation des résultats des examens aux candidats par Sms, a apporté des précisions sur cette question qui fait débat. Selon lui, "quand vous envoyez un Sms, vous ne violez pas les données personnelles de quelqu’un". Il précise que dans le contexte de la Covid, l’autre modalité, qui consistait à faire un appel nominatif en présence des candidats et de leurs familles serait un risque de propager le virus. Il se prononçait, ce mardi lors d’une cérémonie de remise de matériel destiné aux classes d’alphabétisation fonctionnelle du Programme national d’éducation de base, pour la prévention contre la pandémie.
« Lorsque les candidats s’inscrivent, ils nous donnent leur numéro de téléphone et par le passé ces numéros ont été utilisés pour donner des résultats, ou pour leur donner des informations. Quand vous envoyez un Sms, je ne pense pas que vous violez les données personnelles de quelqu’un. Peut-être les moyens que nous avons utilisés pour récupérer les numéros de téléphone. Sachez que nous avons mis un formulaire demandant aux élèves de mettre à jour leur numéro de téléphone. Nous avions déjà les numéros, c’est juste pour une mise à jour. Parce que lors de la configuration des numéros, ils se trouvent qu’il y avait beaucoup de numéros qui sont du fixe et on ne peut pas envoyer des Sms sur ces numéros (fixes). Également, il y a d’autres numéros de portable où quand vous y appeler vous tombez sur quelqu’un qui n’est même pas dans la même localité que le candidat », a soutenu Socé Ndiaye le Directeur de l’Office du Baccalauréat.
Toutefois, il précise : « Les candidats ne sont pas obligés de donner leurs numéros. Pour la bonne et simple raison que les Sms sont une des modalités pour donner des résultats et ça a été utilisé par le passé. Moi-même, je l’ai fait à Saint-Louis et à Tivaouane, Joal et avec la radio qu’on a toujours utilisé ».
Se voulant plus claire, M. Ndiaye ajoute : « Maintenant cette année, nous nous sommes dits avec le contexte de la Covid, l’autre modalité, qui consistait à faire un appel nominatif en présence des candidats et de leurs familles, on va y surseoir. Et quand vous éliminez cette modalité, il faut formaliser les autres. C’est-à-dire l’utilisation de la radio ou de Sms ne peut plus être tout simplement facultative, ça devient la modalité centrale ».
« Lorsque les candidats s’inscrivent, ils nous donnent leur numéro de téléphone et par le passé ces numéros ont été utilisés pour donner des résultats, ou pour leur donner des informations. Quand vous envoyez un Sms, je ne pense pas que vous violez les données personnelles de quelqu’un. Peut-être les moyens que nous avons utilisés pour récupérer les numéros de téléphone. Sachez que nous avons mis un formulaire demandant aux élèves de mettre à jour leur numéro de téléphone. Nous avions déjà les numéros, c’est juste pour une mise à jour. Parce que lors de la configuration des numéros, ils se trouvent qu’il y avait beaucoup de numéros qui sont du fixe et on ne peut pas envoyer des Sms sur ces numéros (fixes). Également, il y a d’autres numéros de portable où quand vous y appeler vous tombez sur quelqu’un qui n’est même pas dans la même localité que le candidat », a soutenu Socé Ndiaye le Directeur de l’Office du Baccalauréat.
Toutefois, il précise : « Les candidats ne sont pas obligés de donner leurs numéros. Pour la bonne et simple raison que les Sms sont une des modalités pour donner des résultats et ça a été utilisé par le passé. Moi-même, je l’ai fait à Saint-Louis et à Tivaouane, Joal et avec la radio qu’on a toujours utilisé ».
Se voulant plus claire, M. Ndiaye ajoute : « Maintenant cette année, nous nous sommes dits avec le contexte de la Covid, l’autre modalité, qui consistait à faire un appel nominatif en présence des candidats et de leurs familles, on va y surseoir. Et quand vous éliminez cette modalité, il faut formaliser les autres. C’est-à-dire l’utilisation de la radio ou de Sms ne peut plus être tout simplement facultative, ça devient la modalité centrale ».