« Nous n’accepterons jamais l’avortement quelque soit la situation, que la femme soit violée ou pas. Nous devons combattre le viol. L’Islam ne connait pas l’homosexualité et il ne va jamais l’accepter. Nous sommes pour le retour de la peine de mort. L’Islam interdit un homme de tuer son prochain. Notre religion considère celui qui tue son prochain comme quelqu’un qui ne fait plus partie de l’Islam », souligne Imam Moustapha Sall, président du Forum Africain des Imams.
Quant à M. Abdoulaye Ndao, membre du pool d’expert du Forum Africain des Imams, il précise : « Sur l’avortement ou sur l’homosexualité, le Forum Africain des Imams récuse fondamentalement tout cela parce que tout simplement, l’avortement, ce n’est pas une solution ou si c’est une solution, c’est une solution qui s’inscrit dans le court terme, dans une perspective courtermiste. Nous proposons une solution structurelle qui embrasse la question dans sa totalité et dans toute sa dimension. L’homosexualité, il n’est même pas question, cela fait partie des facteurs qui sont portés, colportés par des idéologies suspectes, déviantes, obscures, qui veulent instrumentaliser nos religions, notre manière de voir, de percevoir ».
« C’est une structure qui veut faire participer les imams dans les mécanismes de prise en charge des questions publiques qui interpellent le devenir de nos nations. La fonction classique de l’imam consistait à se focaliser dans la cour de la mosquée à sceller des mariages, des unions, à arranger des situations mais nous avons décidé de dépasser cette fonction classique de l’imam, faire participer les imams dans la résolution des crises, des problèmes qui interpellent le devenir de nos sociétés et que ces problèmes-là ne peuvent pas être l’exclusivité des pouvoirs publics, c’est la raison pour laquelle, les imams se donnent les moyens intellectuels et scientifiques pour faire face à ces problèmes-là », estime M. Ndao.
M. Ndao poursuit : « Nous sommes dans une société en crise, nous sommes dans une société en déperdition, on nous parle de viol, de pédophilie, d’infanticide, d’inceste, de meurtre chaque jour que Dieu fait mais le lit de ces problèmes-là, c’est quoi, c’est la pauvreté, c’est la promiscuité face à ces situations, l’Etat doit mettre en place une véritable politique de développement et de prise en charge des questions sociales en quoi faisant, en développant la solidarité, mettre en place des pôles de développement dans les zones rurales ».
Le forum propose la mise en place d’une véritable politique de protection sociale en mettant en place des institutions sociales d’accueil et de redéploiement des bébés issus de viol vers des familles adoptives comme solution.
Quant à M. Abdoulaye Ndao, membre du pool d’expert du Forum Africain des Imams, il précise : « Sur l’avortement ou sur l’homosexualité, le Forum Africain des Imams récuse fondamentalement tout cela parce que tout simplement, l’avortement, ce n’est pas une solution ou si c’est une solution, c’est une solution qui s’inscrit dans le court terme, dans une perspective courtermiste. Nous proposons une solution structurelle qui embrasse la question dans sa totalité et dans toute sa dimension. L’homosexualité, il n’est même pas question, cela fait partie des facteurs qui sont portés, colportés par des idéologies suspectes, déviantes, obscures, qui veulent instrumentaliser nos religions, notre manière de voir, de percevoir ».
« C’est une structure qui veut faire participer les imams dans les mécanismes de prise en charge des questions publiques qui interpellent le devenir de nos nations. La fonction classique de l’imam consistait à se focaliser dans la cour de la mosquée à sceller des mariages, des unions, à arranger des situations mais nous avons décidé de dépasser cette fonction classique de l’imam, faire participer les imams dans la résolution des crises, des problèmes qui interpellent le devenir de nos sociétés et que ces problèmes-là ne peuvent pas être l’exclusivité des pouvoirs publics, c’est la raison pour laquelle, les imams se donnent les moyens intellectuels et scientifiques pour faire face à ces problèmes-là », estime M. Ndao.
M. Ndao poursuit : « Nous sommes dans une société en crise, nous sommes dans une société en déperdition, on nous parle de viol, de pédophilie, d’infanticide, d’inceste, de meurtre chaque jour que Dieu fait mais le lit de ces problèmes-là, c’est quoi, c’est la pauvreté, c’est la promiscuité face à ces situations, l’Etat doit mettre en place une véritable politique de développement et de prise en charge des questions sociales en quoi faisant, en développant la solidarité, mettre en place des pôles de développement dans les zones rurales ».
Le forum propose la mise en place d’une véritable politique de protection sociale en mettant en place des institutions sociales d’accueil et de redéploiement des bébés issus de viol vers des familles adoptives comme solution.